La lettre du Libraire - Rentrée littéraire 20132024-03-29T07:24:43+01:00urn:md5:730380b67af77a3fbbc36330a33651feDotclearLa rentrée littéraire Héloïse d'Ormessonurn:md5:249fff5539ef79d5aa2a5f20cf154af12015-06-29T08:54:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Héloïse d OrmessonNorman GinzbergPeter Longerichpremier romanTracy ChevalierVonne Van der MeerÉmilie de Turckheim
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Heloise_d__Ormesson_Logo_s.jpg" alt="Heloise_d__Ormesson_Logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Heloise_d__Ormesson_Logo.jpg, mai 2013" /><br />
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<p><strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Une_sainte_s.jpg" alt="Une_sainte.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Une_sainte.jpg, mai 2013" />
22 août 2013<br />
<em><strong>Une sainte</strong></em> d'<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/%C3%89milie%20de%20Turckheim">Émilie de Turckheim</a></strong><br />
<em>L’héroïne de ce roman sait qu’un jour, elle sera canonisée. Mais elle ne sait pas encore pour quels miracles et bienfaits. Pour gagner ses galons de sainteté, elle croit encourager le destin en devenant visiteuse de prison. Toutes les semaines, elle rencontre Dimitri, qu’elle écoute sans juger. Quand celui-ci est enfin libéré, la sainte réalise très vite qu’elle n’a plus aucun pouvoir sur lui. Il est libre comme elle est libre, il n’a plus besoin d’elle : Dimitri a perdu son charme. Pour le sauver une fois pour toutes, elle l’accuse d’un viol qu’il n’a pas commis. À la suite d’un procès perdu d’avance, Dimitri retourne en prison où l’attend… sa visiteuse</em>.<br />
Une sainte <em>est une fable sur le don et la grâce. L’héroïne – dont les ailes d’ange poussent dans le dos au fur et à mesure du roman – veut aider ceux qui l’entourent : son vieux voisin esseulé ; sa meilleure amie actrice porno ; et sa mère adorée, alitée dans une maison de repos… Un personnage troublant et irrésistible qui nous entraîne sur les chemins de la liberté et de la transgression</em>.<br /><br />
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<p><em><strong>Arizona Tom</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Norman%20Ginzberg">Norman Ginzberg</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br />
'<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Arizona_Tom_s.jpg" alt="Arizona_Tom.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Arizona_Tom.jpg, mai 2013" />'À la fin de sa vie, Ocean Miller revient sur son itinéraire improbable de shérif : il raconte d’abord comment, lui, Juif d’Europe centrale, né sur un paquebot qui ralliait l’Amérique, a atterri dans une bourgade perdue d’Arizona''.<br />
<em>Puis il se souvient de l’affaire la plus marquante de sa carrière, celle de Tom, sourd-muet de douze ans à peine, qui débarqua à Brewsterville en traînant un cadavre dépecé sur ses talons. Pour le maire et ses acolytes, le garçon était assurément coupable du meurtre. Mais pour Miller, sur le déclin et porté sur le bourbon, l’innocence de ce petit bonhomme ne faisait aucun doute</em>.<br />
<em>Pour sauver Tom de la potence, et prouver qu’il a encore un rôle à jouer, Miller se lance dans une enquête haletante pour débusquer le tueur. La rumeur d’un coffre rempli d’or enterré en plein désert le mènera de pièges sanglants en aventures poussiéreuses jusqu’à découvrir l’identité des véritables coupables. Norman Ginzberg signe un western décalé, où l’on croise des personnages tendres et pittoresques. Plongée dans l’univers du Grand Ouest en pleine conquête, avec son lot d’affairistes et de putains au grand coeur, Arizona Tom offre un savoureux récit d’aventures. Les tribulations de ce shérif marginal, du shtetl au saloon, remettent le genre au goût du jour. Un premier roman très prometteur</em>.<br /><br /></p>
<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>29 août 2013</strong><br />
<strong><em>La Femme à la clé</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Vonne%20Van%20der%20Meer">Vonne Van der Meer</a></strong>(Pays-Bas)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_femme_a_la_cle_s.jpg" alt="La_femme_a_la_cle.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="La_femme_a_la_cle.jpg, mai 2013" />
« <em>Femme, 59 ans, d’apparence maternelle, hanches larges, voix agréable, vient vous border et vous faire la lecture avant que vous vous endormiez. Discrétion assurée. Intentions sexuelles totalement exclue</em>s. ».
<em>Voilà l’annonce que rédige Nettie avec humour et détermination, lorsque la recherche d’un travail devient inévitable. Quelques mois après la perte de son mari, décédé d’une crise cardiaque, la question de la reconstruction se pose. Femme au foyer, Nettie n’a pas d’expérience professionnelle à faire valoir, elle se tourne alors vers sa passion : la lecture. Petit à petit, elle se forge une clientèle hétéroclite, hommes et femmes, enfants et adultes, qui tous recherchent le plaisir d’entendre une histoire avant de s’endormir. Mais avant de se lancer dans cette entreprise, elle n’avait pas envisagé l’intimé de la relation qu’elle construirait avec ses clients. Malgré elle, elle devient confidente, amie, conseillère. Son projet inattendu aura des retombées surprenantes et lui redonnera goût à la vie</em>.
<em>On s’attache à cette femme blessée par la vie qui, grâce aux livres, prodigue et reçoit affection et tendresse. Il y a du <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Tracy%20Chevalier">Tracy Chevalier</a> dans l’univers subtil de Vonne van der Meer et son écriture élégante et douce</em>.<br />
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<p><strong>HISTOIRE</strong><br />
<strong>19 septembre 2013</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Goebbels_s.jpg" alt="Goebbels.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Goebbels.jpg, mai 2013" /><em><strong>Goebbels</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Peter%20Longerich">Peter Longerich</a></strong> (Allemagne).<br />
<em>Premier biographe à puiser dans un matériau nouveau – les carnets de Joseph Goebbels, publiés en 2006 –, Peter Longerich pénètre dans le cercle intime du pouvoir. Il dévoile et démêle les relations complexes et tendues qui l’unissaient à sa femme et à Hitler, dans un triangle amoureux, le rôle de confident du Führer qu’il a endossé jusqu’à la chute du régime, et qui révèle la personnalité maniacodépressive de l’architecte de la propagande nazie. Utilisant notamment les enregistrements de ses discours, l’historien démonte la mécanique de la « méthode Goebbels », dont les piliers — manipulation des masses et démagogie — ont crée une vie publique artificielle entièrement contrôlée par le Parti, dont la toute puissance a permis d’instaurer l’impensable</em> : la Solution finale.<br />
<em>Peter Longerich dresse avec perspicacité le portrait d’un des hommes les plus influents du IIIe Reich, second bras armé d’Hitler avec Himmler. Comme pour Himmler, Peter Longerich étudie l’innommable, sonde la bestialité avec l’ambition de l’objectivité scientifique. Sa biographie est étayée, sa somme minutieusement documentée. Un monumental travail de recherche qui force l’admiration</em>.<br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Actes Sudurn:md5:7dc2e2d42197736cd17ca25fee7cccb92015-06-08T23:32:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Claudie GallayElias KHOURYHélène FrappatJaume CABRÉJuli ZEHLoïc MerleLyonel TrouillotMathilde JaninNancy HustonPeter CAREYpremier romanRaphaël JerusalmySvetlana ALEXIEVITCHValentine Goby
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/Actes_Sud_logo.gif" alt="Actes_Sud_logo.gif" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Actes_Sud_logo.gif, juin 2013" /><br />
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<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong> <br />
<strong>21 août 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>Lady Hunt</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/H%C3%A9l%C3%A8ne%20Frappat">Hélène Frappat</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Lady_Hunt_s.jpg" alt="Lady_Hunt.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Lady_Hunt.jpg, juin 2013" />
<em>Obsédée par le rêve d’une maison qui la hante, une jeune femme qui fait visiter des appartements à Paris est le témoin de la très mystérieuse disparition d’un enfant. Trouvera-t-elle dans son rêve la clé de l’énigme du réel ? Des ruines du Parc Monceau à la lande galloise, entre les malédictions du passé et les divers déguisements de la vérité, Lady Hunt réinvente le roman gothique anglais et toutes les nuances du sortilège</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Une_part_de_ciel_s.jpg" alt="Une_part_de_ciel.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Une_part_de_ciel.jpg, juin 2013" /><em><strong>Une part de ciel</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Claudie%20Gallay">Claudie Gallay</a></strong><br />
<em>De retour pour quelques semaines dans sa vallée natale qui s’enfonce dans l’hiver, une femme redécouvre les non-dits du lien familial et la part d’absolu que chacun peut mettre en partage. Un roman de l’attente, des regrets et des possibles, illuminé par la plume intense et intime de l’auteur des</em> Déferlantes.<br />
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<p><em><strong>Kinderzimmer</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Valentine%20Goby">Valentine Goby</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Kinderzimmer_s.jpg" alt="Kinderzimmer.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Kinderzimmer.jpg, juin 2013" />
<em>En 1944, Ravensbrück est en grande partie un camp de femmes. Mila a vingt-deux ans quand elle arrive à l’entrée du camp. Autour d’elle, quatre cents visages apeurés. Dans les baraquements, chacune de ces femmes va devoir trouver l’énergie de survivre, au très profond d’elle-même, puiser chaque jour la force</em> <em>d’imaginer demain. Et Mila est enceinte mais pour l’instant ne le sait pas</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Danse_noire_s.jpg" alt="Danse_noire.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Danse_noire.jpg, juin 2013" /><em><strong>Danse noire</strong><strong></strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Nancy%20Huston">Nancy Huston</a></strong><br />
<em>Sur un lit d’hôpital, Milo s’éteint lentement. À son chevet le réalisateur new-yorkais Paul Schwarz rêve d’un ultime projet commun : un film qu’ils écriraient ensemble à partir de l’incroyable parcours de Milo. En s’attachant à ce destin issu d’un passé aussi singulier qu’universel, en s’arrêtant sur les origines de Milo dans un premier temps effacées puis peu à peu recomposées, ce film serait le reflet éclatant de trois lignes de vie ayant traversé le siècle en incarnant ses décennies de joies et de larmes, d’espoirs et de résistance, d’exode, d’exils et de fureur</em>.<br />
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<p><em><strong>Riviera</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Mathilde%20Janin">Mathilde Janin</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Riviera_s.jpg" alt="Riviera.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Riviera.jpg, juin 2013" />
<em>Dans les dernières années d’un xxe siècle frappé par une terrible pandémie qui rend les voyages d’un continent à l’autre périlleux, les amours fiévreuses – à New York, puis à Paris – d’un artiste majeur du rock indépendant et d’une émigrée vénéneuse. Liés par leur amour de la musique, ils consument leur jeunesse au rythme de leurs étreintes passionnées, de leurs excès d’alcool et de drogue</em>. <em>Un premier roman tourmenté, audacieux, dont l’écriture habitée épouse le rythme des palpitations des coeurs et du fracas du monde</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_confrerie_des_chasseur_de_livres_s.jpg" alt="La_confrerie_des_chasseur_de_livres.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="La_confrerie_des_chasseur_de_livres.jpg, juin 2013" /><em><strong>La Confrérie des chasseurs de livres</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Rapha%C3%ABl%20Jerusalmy">Raphaël Jerusalmy</a></strong><br />
<em>François Villon, poète rebelle et brigand condamné à mort, est gracié par le roi Louis XI qui l’envoie en Terre sainte, à la rencontre des chasseurs de livres de la Jérusalem d’en bas, tenter une alliance contre l’omnipotence de Rome. Entre thriller et picaresque, aussi joueur qu’érudit, l’auteur de Sauver Mozart met en marche les forces de l’esprit contre la toute-puissance du dogme et des armes, pour faire triompher l’humanisme</em>.<br />
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<p><em><strong>L’Esprit de l’ivresse</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Lo%C3%AFc%20Merle">Loïc Merle</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>).<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.L_Esprit_de_l_ivresse_s.jpg" alt="L_Esprit_de_l_ivresse.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="L_Esprit_de_l_ivresse.jpg, juin 2013" />
<em>La nuit est longue où s’embrase et se soulève “la banlieue”, qui bientôt marchera sur les villes, et renversera le gouvernement dans une Grande Révolte trop vite désenchantée. M. Chalaoui, Clara, le Président : trois destins, trois corps, trois trajectoires individuelles transportent le lecteur dans la chair collective d’une révolution d’après la mort des idéologies. Un premier roman d’une ampleur et d’une ambition rares</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Parabole_du_Failli_s.jpg" alt="Parabole_du_Failli.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Parabole_du_Failli.jpg, juin 2013" /><em><strong>Parabole du Failli</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Lyonel%20Trouillot">Lyonel Trouillot</a></strong><br />
<em>Alors qu’il semble enfin devoir connaître le succès, Pedro, jeune comédien haïtien en tournée à l’étranger, se jette du douzième étage d’un immeuble. Dans son pays natal, deux amis tentent alors de comprendre les raisons qui ont conduit au suicide un homme que le terrifiant mélange du social et de l’intime a transformé en plaie ouverte. Au point de le contraindre, pour être lui-même, à devenir tous les autres, sur la scène comme dans la vie. Et à signer de sa disparition l’échec de la poésie et du langage à combler la faille qui sépare la lettre du réel</em>.<br /><br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>4 septembre 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>La Fin de l’homme rouge. Le Temps du désenchantement</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Svetlana%20ALEXIEVITCH">Svetlana ALEXIEVITCH</a></strong> (Russie)<br />
Depuis <em>Les Cercueils de zinc</em> et <em>La Supplication</em>, <em>Svetlana Alexievitch est la seule à garder vivante la mémoire de cette tragédie qu’a été l’URSS, la seule à écrire la petite histoire d’une grande utopie. Mais elle est avant tout un écrivain, un grand écrivain. Pour ce magnifique requiem, elle invente une forme littéraire polyphonique singulière, qui fait résonner les voix de centaines de témoins brisés</em>.<br /></p>
<p><em><strong>Confiteor</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Jaume%20CABR%C3%89">Jaume CABRÉ</a></strong> (Espagne)<br />
<em>Avant que la lucidité ne le quitte à jamais, un homme écrit à la femme de sa vie, dans le chaos absolu d’une mémoire vacillante, de longs feuillets recto/verso. D’un côté : l’itinéraire d’un enfant sans amour et l’affliction d’un adulte sans dieu, de l’autre : l’histoire du Mal souverain. Confiteor (en latin : je confesse) est une véritable cathédrale profane</em>.<br /></p>
<p><em><strong>La Chimie des larmes</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Peter%20CAREY">Peter CAREY</a></strong> (Australie)<br />
<em>Entrée au catalogue d’un géant de la littérature australienne, double vainqueur du</em> Booker Prize (Oscar et Lucinda, 1988 et Véritable histoire du gang Kelly, 2001).
<em>Le nouveau roman de Peter Carey fait dialoguer deux voix et deux destins. Séparés par plus d’un siècle, deux êtres fous d’amour et de chagrin poursuivent le même but : alors qu’en 1854, Henry Brandling cherche un horloger capable de construire un jouet mécanique qui guérira son fils, en 2010 Catherine Gehrig affronte la mort de son amant secret en restaurant le même automate. Reliés par des carnets (que l’un écrit et que l’autre lit) et par leurs interrogations sur la mort, l’amour et la technique, ces deux personnages émouvants découvrent progressivement que ce jouet mécanique recèle des mystères bien plus grands. La Chimie des larmes est un grand roman sur la force créatrice et sa participation à notre capacité de résilience</em>.<br /></p>
<p><em><strong>Sinalcol</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Elias%20KHOURY">Elias KHOURY</a></strong> (Liban)<br />
<em>Nasri est un pharmacien de Beyrouth qui vit seul avec ses deux enfants, Karim et Nassim. Le premier, étudiant en médecine, milite dans un mouvement de gauche, sous le nom de guerre “Sinalcol” (surnom dérivé de “sans alcool” en espagnol), alors que le second est phalangiste. Les deux frères sont amoureux de Hind, éprise quant à elle de Karim, mais qui finit, après le départ de celui-ci en France, par se marier avec Nassim. De leur histoire naissent d’autres histoires qui s’enchevêtrent pour constituer une imposante fresque de la société libanaise de ces cinquante dernières années</em>.<br /></p>
<p><em><strong>Décompression</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Juli%20ZEH">Juli ZEH</a></strong> (Allemagne)<br />
<em>Au mois de novembre sur l’île de Lanzarote : un séjour de plongée sous-marine se transforme en un jeu perfide de désir et de haine. L’instructeur, l’indolent Sven, est attiré dans un piège qui lui en apprendra autant sur lui-même que sur les autres. Aucun des protagonistes n’est celui qu’on imagine. Et la vengeance est un plat qui peut parfaitement se consommer sous l’eau</em>.<br />
Décompression <em> est un thriller intelligent et jubilatoire qui brocarde nos illusions de liberté : un Juli Zeh grand cru et un pur plaisir de lecture</em>.<br /></p>
<p><strong>(Les résumés sont de l'éditeur)</strong>.</p> La rentrée littéraire Robert Laffonturn:md5:0e2308bfaa6ae15cd05689870183534b2015-05-29T22:53:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Alexis SALATKOFrançois RIVIEREJean D’ORMESSONJean-Jacques PauvertPatrick FLANERYPauline GUENARégine DEFORGES
<p><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Robert_Laffont_logo_s.jpg" alt="Robert_Laffont_logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Robert_Laffont_logo.jpg, juin 2013" />
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<p><strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong>:<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Un_jour_je_m__en_irais_sans_avoir_tout_dit_s.jpg" alt="Un_jour_je_m__en_irais_sans_avoir_tout_dit.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Un_jour_je_m__en_irais_sans_avoir_tout_dit.jpg, juin 2013" />
<strong>22 août 2013</strong><br />
<em><strong>Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Jean%20D%E2%80%99ORMESSON">Jean D’ORMESSON</a></strong>.<br />
Le jeune homme le plus célèbre de la rentrée littéraire nous offre <em>Une randonnée dans la beauté du monde</em><br />
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<em><strong>Folles de Django</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Alexis%20SALATKO">Alexis SALATKO</a></strong><br />
<em>Pour le soixantième anniversaire de sa mort, un roman chante la vie fulgurante du plus grand jazzman français.</em><br />
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<p><em><strong>Que de l’oubli</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Pauline%20GUENA">Pauline GUENA</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Que_de_l__oubli_s.jpg" alt="Que_de_l__oubli.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Que_de_l__oubli.jpg, juin 2013" />
Que de l’oubli <em>tresse les destinées de plusieurs personnages au moment-clé de leur existence, pour dire le temps qui passe et les rêves qui s’effritent</em>.<br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong>:<br />
<strong>22 août 2013</strong><br />
<em><strong>Absolution</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Patrick%20FLANERY">Patrick FLANERY</a></strong> (États-Unis)<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Absolution_s.jpg" alt="Absolution.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Absolution.jpg, juin 2013" /><em>Quand une célèbre écrivaine sud-africaine rencontre un jeune universitaire chargé d’écrire sa biographie… Un duel littéraire fascinant qui tourne au thriller psychologique post-apartheid</em>.<br />
«<em>Patrick Flanery est un romancier d’un talent et d’une intelligence exceptionnels, et il ne fait que commencer</em>.» (The New Yorker).<br />
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<p><strong>BOUQUINS</strong>:<br />
<strong>12 septembre 2013</strong><br />
<em><strong>Les chefs d’oeuvre de la littérature jeunesse</strong></em> Sous la direction de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Fran%C3%A7ois%20RIVIERE">François RIVIERE</a></strong><br />
<em>Ce volume rassemble une sélection de romans classiques (XIXe siècle) des années 1940-1950 qui témoignent, sur des registres différents, de la force de la littérature de jeunesse</em>.<br />
<em>Certains de ces romans ont été reconnus avec le temps comme de véritables classiques, tel le toujours irrésistible</em> Trois hommes dans un bateau <em>de Jerome K</em>. Jérome, <em>qui ouvre ce recueil. Un petit chef-d’œuvre d’humour, de finesse et de sensibilité, à l’instar de</em> Mon petit Trott <em>de l’Alsacien André Lichtenberger, qui fit les délices de plusieurs générations et méritait d’être redécouvert</em>.<br />
<em>D’autres apparaissent comme des romans uniques dans l’œuvre de leur auteur et sont devenus mythiques, en raison non seulement de leur génie propre, mais de la gloire que leur apporta le cinéma. C’est le cas de</em> Mary Poppins <em>de Pamela Travers,</em> d’Émile et les détectives <em>d’Erich Kästner, des</em> Cent Un Dalmatiens <em>de Dodie Smith et</em> d’Adieu mes quinze ans<em>, de Claude Campagne, qui ont enchanté des lecteurs et des spectateurs de tous âges</em>.<br />
<em>Il y a enfin les romans dits</em> « de génie » <em>tels que</em> Le Relais de la chance au Roy <em>de Jean-Louis Foncine, publié dans une collection</em>, « Signe de Piste », <em>destinée aux adolescents. Figure emblématique de la fiction enfantine, l’Anglaise Enid Blyton, surnommée</em> « l’Agatha Christie des moins de dix ans », <em>est restée célèbre pour ses aventures du</em> Club des Cinq. <em>Elle est considérée comme la devancière de J.K. Rowling, la créatrice d’</em>Harry Potter, <em>qui lui voue une grande admiration</em>. « Bouquins » <em>lui rend hommage en publiant dans ce volume un titre méconnu</em>, L’Île de l’aventure.<br /></p>
<p><strong>MÉMOIRES</strong>:<br />
<strong>26 septembre</strong><br />
<em><strong>Mémoires L’enfant du 15 août</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/R%C3%A9gine%20DEFORGES">Régine DEFORGES</a></strong><br />
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<em>Pour définir Régine Deforges, les qualificatifs ne manquent pas. Elle a eu mille vies et mille aventures, elle s’est engagée sur tous les fronts, elle croit aux livres et aux êtres humains. Ses mémoires sont attendues car on est loin de tout savoir d’elle. Elles sont le témoignage d’un fougueux parcours personnel qui se confond avec la vie intellectuelle et politique de ces cinquante dernières années. Après une enfance dans le Poitou, Régine traverse une adolescence tumultueuse, se marie à dix-huit ans et s’installe à Paris. Elle prend des cours de théâtre au cours Simon, fait un peu de mannequinat mais trouve sa vocation en devenant libraire au drugstore des Champs-Élysées. Elle est représentante pour les</em> <em>Éditions</em> <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Jean-Jacques%20Pauvert">Jean-Jacques Pauvert</a> <em>puis crée sa librairie, se spécialise dans les ouvrages érotiques avant de monter sa maison d’édition en publiant des ouvrages qui déchaînent la censure et lui valent de nombreux procès. Régine Deforges passe de l’autre côté du miroir : elle écrit et connaît d’immenses succès avec notamment la série des romans qui commencent par</em> La Bicyclette bleue. <em>Divorcée, elle se remarie avec Pierre Wiazemsky, dit « Wiaz », le célèbre dessinateur du</em> Nouvel Observateur.<br />
« Fille de Colette », <em>a écrit</em> Le Monde, « papesse de l’érotisme », <em>Régine Deforges ne s’épargne pas dans ces magnifiques mémoires ; elle écrit comme elle vit, avec un style, du courage, un grand charme</em>.<br /></p>
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<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Gallimardurn:md5:3771a30408bad089e0e35e2232c81cfc2015-05-02T21:01:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013ALIX OHLINANTONIA KERRChristophe Ono-Dit-BiotETIENNE DE MONTETYFRANÇOIS SUREAUFRÉDÉRIC VERGERGallimardJAVIER MARIASJEAN HATZFELDLA PLEIADELAURA ALCOBAMARIA POURCHETNELLY ALLARDPATRICK LAURENTPIERRE JOURDEPIERRE PÉJUpremier romanROSA LIKSOMTRISTAN GARCIAWILLIAM SHAKESPEARE
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/Gallimard.jpg" alt="Gallimard.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Gallimard.jpg, juil. 2012" /><br />
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<p><strong>Septembre 2013</strong><br />
<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Moment_d__un_couple_s.jpg" alt="Moment_d__un_couple.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Moment_d__un_couple.jpg, juin 2013" /></p>
<p><em><strong>MOMENT D’UN COUPLE</strong></em> de <strong></strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/NELLY%20ALLARD">NELLY ALLARD</a><strong></strong><br />'Olivier est journaliste, il participe aux tâches ménagères et s’investit à fond dans la paternité. Juliette a eu avant de se marier de nombreux amants et occupe aujourd’hui un poste d’ingénieur dans l’informatique. Mais lorsqu’Olivier apprend à sa femme qu’il a, depuis peu, une liaison, c’est tout l’univers de Juliette qui vacille''.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_bleu_des_abeilles_s.jpg" alt="Le_bleu_des_abeilles.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Le_bleu_des_abeilles.jpg, juin 2013" /><em><strong>LE BLEU DES ABEILLES</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/LAURA%20ALCOBA">LAURA ALCOBA</a></strong><br />
<em>La narratrice a une dizaine d’années lorsqu’elle parvient à quitter l’Argentine pour rejoindre sa mère, opposante à la dictature réfugiée en France. Le père est en prison à La Plata. Elle s’attend à découvrir Paris, la Tour Eiffel et les quais de Seine qui égayaient ses cours de français. Mais la réalité du Blanc-Mesnil, où elle atterrit, ressemble assez peu à l’image qu’elle s’était faite de son pays d’accueil. L’apprentissage du français sera le grand défi de la fillette. Honteuse de son accent, elle veut à tout prix conquérir cette langue dont elle est littéralement amoureuse ― en particulier à cause des e muets : une langue qui accroche aux mots de tels bijoux silencieux est digne d’être aimée</em>.<br />
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<p><em><strong>FABER</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/TRISTAN%20GARCIA">TRISTAN GARCIA</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Faber_s.jpg" alt="Faber.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Faber.jpg, juin 2013" />
<em>Madeleine et Basile sont nés vers 1980 à Mornay, une ville imaginaire d’Ile-de-France où se réfugient les classes moyennes incapables de se loger à Paris. Enfants, ils font la connaissance d’un orphelin adopté par un couple de retraités, le jeune Mehdi, qui préfère se faire appeler Faber ; c’est un petit génie, à la fois fascinant et insupportable, persuadé d’être le Diable réincarné dans une ville de province. Une amitié exclusive et exaltée unit Faber, Madeleine et Basile depuis leurs dix ans jusqu’à la fin de l’adolescence. La personnalité excessive de Faber provoquera la dissolution douloureuse du trio, marquant l’entrée dans la vie réelle. Ils se retrouvent en 2011, après quinze ans de séparation. Faber, ayant échoué dans ses tentatives radicales de changer le monde, se terre dans une ferme délabrée des Pyrénées. C’est là que Madeleine, devenue pharmacienne, vient le chercher. Elle le ramène à Mornay, où Basile est pour sa part devenu enseignant de français. Il s’agit pour elle d’honorer un pacte solennel qui les engageait tous les trois. Le retour de Faber, ancien militant de l’ultra-gauche devenu clochard, va créer de forts remous à Mornay...</em><br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Robert_Mitchum_ne_revient_pas_s.jpg" alt="Robert_Mitchum_ne_revient_pas.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Robert_Mitchum_ne_revient_pas.jpg, juin 2013" /><em><strong>ROBERT MITCHUM NE REVIENT PAS</strong></em> de <strong> <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/JEAN%20HATZFELD">JEAN HATZFELD</a></strong><br />
<em>Au printemps 1992 les Serbes encerclent Sarajevo. Vahidin et Marija, deux athlètes de l’équipe de tir olympique yougoslave s’entraînent en prévision des jeux olympiques de Barcelone. Tous deux sont Bosniaques, et amants ; lui est musulman, elle est serbe. Ils vivent à Ilidza, une banlieue de Sarajevo. Vahidin et Marija n’ont jusque-là jamais attaché la moindre importance à leurs origines « ethniques ». Pourtant, ils vont être séparés brutalement par l’encerclement, puis enrôlés dans des camps opposés et amenés à commettre des actes de guerre : leur talent exceptionnel au tir les fait désigner comme snipers</em>.<br />
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<p><em><strong>LA PREMIÈRE PIERRE</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/PIERRE%20JOURDE">PIERRE JOURDE</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_premiere_pierre_s.jpg" alt="La_premiere_pierre.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="La_premiere_pierre.jpg, juin 2013" />
"<em>Dans ces terres reculées, dans ces pays perdus, on vit toujours plus ou moins dans une légende, dans l’image d’un chapiteau roman historié de scènes naïves et cruelles… » Pierre Jourde revient sur des événements qui en 2005 ont défrayé la chronique. Lors de la parution d’un de ses livres, Pays perdu, une partie des habitants du village d’Auvergne dont il était question dans le récit s’est livrée à une tentative de lynchage de l’auteur et de sa famille. Pierre Jourde y décrivait la rudesse de la vie dans ce hameau lointain dont sa famille est originaire, mais aussi une fraternité archaïque, solide, des relations humaines à la fois brutales et profondes, tout cela raconté à l’occasion de la mort d’un enfant</em>.<br />
<em>Célébration du village aimé, le livre y a été reçu par certains comme une offense. La première pierre propose le récit des événements violents qui ont suivi la parution de Pays perdu, et l’analyse passionnante de leurs causes. Il offre aussi une magnifique démonstration des puissances de la littérature, en même temps qu’un récit vibrant d’émotion et d’admiration pour ces contrées et ces gens qui vivent dans un temps différent de celui des villes</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_desamour_s.jpg" alt="Le_desamour.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Le_desamour.jpg, juin 2013" /><em><strong>LE DÉSAMOUR</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/ANTONIA%20KERR">ANTONIA KERR</a></strong><br />
« <em>Plus j’écrivais et plus je voyais Laura dériver de moi et atteindre ce degré de tendresse morne que l’on trouve chez les vieux amants, cette affection lointaine d’où jaillissent toutes sortes de sentiments tièdes et effrayants, comme l’amitié et l’attachement fraternel. » Glenn, écrivain new-yorkais, a soixante ans. Il vit une relation amoureuse intense avec Laura, qui a une vingtaine d’années. Glenn croit lire dans les attitudes mystérieuses de la jeune filleet dans ses disparitions fréquentes des signes de son désamour. Une période tourmentée commence…</em><br />
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<p>''<strong>COMME BAPTISTE'</strong>' de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/PATRICK%20LAURENT">PATRICK LAURENT</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Comme_baptiste_s.jpg" alt="Comme_baptiste.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Comme_baptiste.jpg, juin 2013" />
<em>Baptiste, jeune informaticien passionné d’Intelligence Artificielle, vient d’apprendre que sonpère, un linguiste renommé, veuf et dépressif, n’est pas son père. En effet sa mère, morte deux ans plus tôt, a eu recours à une insémination avec donneur. Dès lors, le jeune homme est pris d’un désir frénétique de connaître ce géniteur anonyme, qu’il appelle son Bio. Il se lance dans une quête parsemée d’embûches et de rencontres inattendues. Dans son esprit déferlent la Conscience, le Réel, l’Identité, la Mort, tels les quatre cavaliers de l’Apocalypse…</em><br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_route_du_salut_s.jpg" alt="La_route_du_salut.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="La_route_du_salut.jpg, juin 2013" /><em><strong>LA ROUTE DU SALUT</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/ETIENNE%20DE%20MONTETY">ETIENNE DE MONTETY</a></strong><br />
<em>Bosnie, 1992. Le roman décrit les trajectoires de deux jeunes hommes venus de France pour se battre contre les Serbes. Le premier se nomme Joss Moskowski, dit Mosko. Fils d’immigrés polonais communistes, il a grandi à Troyes où son père était cheminot. À la fin des années 80, il part à Nanterre étudier le droit. La rencontre d’un étudiant musulman va orienter sa vie vers l’islam. Lors de l’éclatement de la Yougoslavie, il rejoint les moudjahidin, bien décidés à sauver leurs frères bosniaques (qui n’en demandent pas tant) et à installer la « vraie foi » dans ces contrées plutôt mécréantes, bien qu’officiellement musulmanes</em>…<br />
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<p><em><strong>PLONGER</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Christophe%20Ono-Dit-Biot">Christophe Ono-Dit-Biot</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Plonger_s.jpg" alt="Plonger.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Plonger.jpg, juin 2013" />
<em>Ils l’ont retrouvée comme ça. Nue et morte. Sur la plage d’un pays arabe. Avec le sel qui faisait des cristaux sur sa peau. Une provocation. Une invocation. À écrire ce livre, pour toi, mon fils. » Un homme enquête sur la femme qu’il a passionnément aimée. Elle est partie il y a plusieurs mois, pour une destination inconnue, le laissant seul avec leur petit garçon. Quand le roman s’ouvre, on l’appelle pour lui dire qu’on l’a retrouvée morte, sur une plage, près des vagues, vraisemblablement noyée, dans un pays lointain au paysage minéral qui pourrait être l’Arabie. Elle était artiste, elle s’appelait Paz. Elle était solaire, inquiète, incroyablement douée. Elle étouffait en Europe. Pour son fils, à qui il doit la vérité sur sa mère, il remonte le fil de leur amour - leur rencontre, les débuts puis l’ascension de Paz dans le monde de l’art, la naissance de l’enfant – et essaie d’élucider les raisons qui ont précipité sa fin</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.L__etat_du_ciel_s.jpg" alt="L__etat_du_ciel.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="L__etat_du_ciel.jpg, juin 2013" /><em><strong>L’ÉTAT DU CIEL</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/PIERRE%20P%C3%89JU">PIERRE PÉJU</a></strong><br />
<em>En l’an 2013, l’état du Ciel n’est pas meilleur que celui de la Terre. Au Ciel, on ne sait si Dieu est mort, malade ou indifférent, et les anciennes divinités mythologiques, oubliées et déprimées, tournent en rond. C’est alors que l’Ange Raphaël, plus très sûr de ses pouvoirs, tente d’accomplir une dernière mission bienfaitrice</em>.<br />
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<p><em><strong>ROME EN UN JOUR</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/MARIA%20POURCHET">MARIA POURCHET</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Rome_en_un_jour_s.jpg" alt="Rome_en_un_jour.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Rome_en_un_jour.jpg, juin 2013" />
<em>Sur le toit-terrasse d’un hôtel parisien loué pour un anniversaire surprise, les invités attendent. Le bar n’est pas ouvert et la quinzaine de personnes rassemblées commence à trouver le temps long. L’anniversaire est celui de Paul, organisé par sa compagne Marguerite. Dans l’appartement du couple, cette dernière tente de convaincre Paul de sortir sans lui dévoiler la véritable raison, dont il est bien loin de se douter puisque son anniversaire est passé depuis quatre mois</em>.<br />
<em>D’ailleurs, il préfère regarder un match à la télévision. Marguerite avance un prétexte, puis un autre, toujours plus maladroit, déclenchant un conflit dont les proportions vont bientôt leur échapper à tous les deux</em>.<br />
<em>Pendant ce temps, sur la terrasse privatisée, les invités prennent possession des lieux. L’alcool, l’absence prolongée de l’organisatrice, la nuit, le choc des personnalités en présence, entraînent peu à peu la « soirée d’anniversaire » loin du concept initial</em>…<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_chemin_des_morts_s.jpg" alt="Le_chemin_des_morts.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Le_chemin_des_morts.jpg, juin 2013" /><em><strong>LE CHEMIN DES MORTS</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/FRAN%C3%87OIS%20SUREAU">FRANÇOIS SUREAU</a></strong><br />
<em>Depuis la restauration de la monarchie et le rétablissement de la démocratie en Espagne après la mort de Franco, la France renoue avec son voisin les liens défaits par les années de dictature. Au début des années 1980, pour beaucoup de Français, le franquisme n’est déjà plus qu’un lointain souvenir. Un vent extraordinaire de liberté souffle en Espagne, les négociations pour l’entrée dans la Communauté Européenne sont entamées. L’heure semble venue pour Paris de demander aux dizaines d’opposants au franquisme, à qui l’on avait accordé l’asile, de rentrer chez eux. L’état de droit est rétabli, leur sécurité est garantie</em>.<br />
<em>C’est oublier un peu vite les agissements des GAL, ces groupuscules d’extrême droite aux puissants alliés, qui n’ont pas désarmé et abattent en plein jour ceux qui pourraient entraver leur rêve de retrouver le pouvoir</em>.<br />
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<p><em>ARDEN</em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/FR%C3%89D%C3%89RIC%20VERGER">FRÉDÉRIC VERGER</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Arden_s.jpg" alt="Arden.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Arden.jpg, juin 2013" />
<em>L’histoire se déroule dans les années quarante en Marsovie, aux confins de la Slovaquie, de la Hongrie et de la Roumanie. Le roman raconte l’histoire de deux amis : Alexandre de Rocoule, tenancier du luxueux hôtel d’Arden, un homme à femmes dont la gaité a quelque chose de féroce, et Salomon Lengyel, un tailleur juif sérieux et solitaire. Ils ont une passion commune : l’opérette. Depuis 1917, ils ont écrit ensemble une quantité impressionnante de pièces en trois actes, jamais achevées, car ils ne sont jamais d’accord sur la scène finale. Pendant qu’ils travaillent sans relâche, la bête nazie gronde à travers l’Europe et rôde autour de la Marsovie, sur laquelle elle ne va pas tarder à poser la patte</em>.<br />
<em>Les persécutions de Juifs commencent. Le danger devient pressant pour Salomon et pour sa fille Esther, qu’Alex ne connaissait pas et dont il tombe amoureux lorsqu’à dix-sept ans elle revient chez son père. Les deux amis vont avoir l’occasion de composer leur dernière oeuvre</em>. <br /><br />
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<p><strong>SEPTEMBRE 2013</strong><br />
<strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br /><br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Compartiment_n_6_s.jpg" alt="Compartiment_n_6.JPG" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Compartiment_n_6.JPG, juin 2013" /><em><strong>COMPARTIMENT N°6</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/ROSA%20LIKSOM">ROSA LIKSOM</a></strong> (Finlande)<br />
<em>La promiscuité d’un compartiment de train et les vastes étendues de l’Union Soviétique entre Moscou et Oulan-Bator fournissent un cadre idéal à Rosa Liksom pour nous raconter la rencontre improbable entre deux personnes que tout sépare ou presque au début de leur voyage</em>.<br />
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<p><em><strong>COMME LES AMOURS</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/JAVIER%20MARIAS">JAVIER MARIAS</a></strong> (Espagne)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Comme_les_amours_s.jpg" alt="Comme_les_amours.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Comme_les_amours.jpg, juin 2013" />
<em>Chaque matin, dans le café où elle prend son petit-déjeuner, l’éditrice madrilène Maria Doltz observe un couple dont la complicité et la gaité irradient d’un tel bonheur qu’elle attend avec impatience, jour après jour, le moment d’assister en secret à ce spectacle rare et réconfortant. Or, l’été passe et, à la rentrée suivante, le couple n’est plus là. María apprend alors qu’un malheur est arrivé. Le mari, Miguel Desvern, riche héritier d’une compagnie de production cinématographique, a été sauvagement assassiné dans la rue par un déséquilibré</em>.<br />
<em>Très émue, elle décide de sortir de son anonymat et de rentrer en contact avec sa femme, Luisa, qui est devenue un être fragile, comme anesthésié par la tragédie. Dans l’entourage de Luisa, Maria rencontre Javier Díaz-Varela, le meilleur ami de Miguel, et elle comprend vite que les liens que cet homme tisse avec la jeune veuve ne sont pas sans ambigüités. Bien au contraire : cette relation jette une ombre troublante sur le passé du couple, sur la disparition de Miguel, sur l’avenir de Luisa et même sur celui de Maria</em>.<br />
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<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Inside_s.jpg" alt="Inside.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Inside.jpg, juin 2013" /><em><strong>À L’INTÉRIEUR</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/ALIX%20OHLIN">ALIX OHLIN</a></strong> (Canada)<br />
<em>Psychothérapeute de talent à Montréal, Grace tombe par hasard, alors qu’elle skie pour se changer les idées, sur le corps inanimé d'un homme qui vient de faire une tentative de suicide. Elle n’hésite pas à secourir ce mystérieux inconnu mais réalise très vite que ses sentiments pour lui ne sont pas aussi simples qu’elle veut bien l’ admettre. Se remettant tant bien que mal d’un divorce douloureux, Grace se sent irrésistiblement attirée par cet homme qui semble cacher tant de choses</em>…<br />
<em>Entre-temps, une de ses patientes, Anne, une adolescente troublée qui vient d’avorter, s’enfuit à New York pour faire du théâtre. Quand elle trouve, quelques années plus tard, une jeune fugueuse enceinte réfugiée dans le hall de son immeuble, Anne ne peut s’empêcher de la recueillir chez elle. Pour le meilleur et pour le pire</em>…<br />
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<p><strong>BIBLIOTHEQUE DE <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/LA%20PLEIADE">LA PLEIADE</a></strong><br /></p>
<p><em><strong>COMÉDIES T1</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/WILLIAM%20SHAKESPEARE">WILLIAM SHAKESPEARE</a></strong><br /></p>
<p><em>La Comédie des erreurs – Les deux gentilshommes de Vérone – Le Dressage de la rebelle </em>La Mégère apprivoisée<em> – Peines d’amour perdues – Le songe d’une nuit d’été – Le Marchand de Venise</em><br />
Traductions par <strong>Jean-Michel Déprats</strong> et <strong>Henri Suhamy</strong><br />
Textes établis, présentés et annotés par Line Cottegnies, Yves Peyré, Henri Suhamy, Gisèle Venet<br />
Édition publiée sous la direction de Jean-Michel Déprats et Gisèle Venet<br /></p>
<p><em>Histoires</em> T2 Bibliothèque de la Pléiade n°547<br />
<em>Histoires</em> T1 Bibliothèque de la Pléiade n°546<br />
<em>Tragédies</em> T2 Bibliothèque de la Pléiade n°51<br /><br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Phébusurn:md5:b77171d80cd10a7f712410f1271765622014-10-14T15:53:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Chistina Rivera GarzaSamuel Archibald
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Phebus_Logo_s.jpg" alt="Phebus_Logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Phebus_Logo.jpg, mai 2013" /><br />
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<strong>22 août 2013</strong><br />
<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<em><strong>Arvida</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Samuel%20Archibald">Samuel Archibald</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Arvida_s.jpg" alt="Arvida.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Arvida.jpg, mai 2013" />
<em>Quatorze histoires où l’on croise des animaux fabuleux hantant les sous-bois des forêts canadiennes, des crapules tellement mal organisées et fainéantes qu’elles sont finalement inoffensives, des jeunes filles innocentes ; en somme une population aussi variée qu’imaginaire et pourtant particulièrement vivante</em>.<br />
<em>Samuel Archibald se révèle dans ces pages un émule de Cormac McCarthy influencé par Proust, un héritier d’Anne Hébert qui a lu Jim Thompson et Stephen King</em>.<br />
<em>Cette première oeuvre de Samuel Archibald a reçu au Québec le Prix des libraires 2012</em>.<br />
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<p><strong>29 août 2013</strong><br />
<strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Autumn_Laing_s.jpg" alt="Autumn_Laing.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Autumn_Laing.jpg, mai 2013" /><em><strong>Autumn Laing</strong></em><em></em> d’Alex Miller (Australie)<br /></p>
<p><em>Près de Melbourne, Gabrielle-Louise Ballard, surnommée Autumn, 85 ans, se raconte. Mariée à Arthur Laing, homme de loi intègre fréquentant la Bohème desannées 30, elle partage sa vie entre petits plats et grandes émotions artistiques, la tendresse de son mari et l’admiration des artistes qu’il côtoie. C’est lui qui lui fera rencontrer Pat Donlon, peintre de génie en devenir. Le coup de foudre est immédiat, et réciproque. Passion physique, entente intellectuelle entre l’artiste et sa muse de dix ans son aînée. Leur histoire d’abord solaire se mue bientôt – pour elle – en enfer, lorsque Pat Donlon accède à la notoriété. Égoïste et opportuniste, Donlon abandonne Autumn</em>.<br />
<em>Brisée mentalement,</em> <em>Autumn Laing</em> <em>retourne à Arthur, étrange et magnifique époux plein de mansuétude. Elle aura désormais une existence choyée et feutrée, mais dévastée. Un mot, un seul, peut définir ce roman d’une éclatante sensualité : INCANDESCENT. Face aux grands espaces écrasés de chaleur d’Australie, Alex Miller nous offre une vision de l’amour avec ses zéniths et ses gouffres, son tumulte et ses silences, en pulvérisant chaque cliché attaché à ce thème</em>.<br /><br /></p>
<p><em><strong>Personne ne me verra pleurer</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Chistina%20Rivera%20Garza">Chistina Rivera Garza</a></strong> (Mexique).<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Personne_ne_me_verra_pleurer_s.jpg" alt="Personne_ne_me_verra_pleurer.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Personne_ne_me_verra_pleurer.jpg, mai 2013" /><br />
<em>Un dossier médical, quelques écrits délirants, une photographie datée du 26 juillet 1920. En déployant un intelligent dispositif historico- littéraire, Cristina Rivera Garza retrace à partir de ces minces éléments, la vie mouvementée et déchirante, illuminée et détruite par beaucoup d’amours et d’amitiés, de Matilda Burgos</em>.<br />
<em>La photographie est de Joaquim Buitrago, riche héritier, morphinomane, immortalisant la folie dans les asiles de Mexico. C’est là qu’il retrouve Matilda, qu’il avait photographiée douze ans plus tôt, alors qu’il effectuait un travail sur les maisons closes de la capitale mexicaine. Comme hypnotisé, il se met en quête du passé</em>
<em>de la fascinante aliénée. Se tisse alors une relation singulière entre les deux personnages, qui, improbables amants, voient devant eux la ville de Mexico se</em> <em>métamorphoser, et la folie les gagner. Et le roman nous pose deux questions, l’une posée par Matilda, l’autre par Joaquim</em>:<br />
– <em>Comment fait-on pour devenir photographe de fous</em> ?<br />
– <em>Dites-moi plutôt comment on devient fou</em> ?<br /></p>
<p><strong>(Les résumés sont de l'éditeur)</strong></p> La rentrée littéraire de La Musardineurn:md5:3fbe0499ae88edf756e79170c408cf6c2014-10-09T18:03:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Anthony SitrukAxel LéotardBaron von LindBernard GuérinGallimardIan SolianeLéo ScheerMichel VignardVoltaire
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Musardine_Logo_s.jpg" alt="Musardine_Logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Musardine_Logo.jpg, juil. 2013" /><br />
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<strong>Sortie le 29 août 2013</strong><br />
<em><strong>Culte</strong></em> de<strong> <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Ian%20Soliane">Ian Soliane</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Culte_s.jpg" alt="Culte.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Culte.jpg, juil. 2013" />
Après <em>Le Crayon de papa</em> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/L%C3%A9o%20Scheer">Léo Scheer</a>, 2004) et <em>La Bouée</em> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Gallimard">Gallimard</a>, 2012), Ian Soliane change de registre avec <em>Culte</em>, <em>l’histoire d’une initiation SM collective fascinante, digne, par sa précision et son sens du détail, d’un documentaire ou d’un reportage télé. Un roman sans aucun tabou, dérangeant et glaçant, voire carrément scandaleux, assorti d’un texte d’une grande qualité littéraire. L’exact inverse de</em> 50 shades of Grey.<br />
<br />
<br /><br /></p>
<p><strong>Sortie le 19 septembre 2013</strong>
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Pin_up_calendrier_2014_s.jpg" alt="Pin_up_calendrier_2014.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Pin_up_calendrier_2014.jpg, juil. 2013" /><em><strong>Pin-up, calendrier 2014</strong></em>, de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Baron%20von%20Lind">Baron von Lind</a></strong><br /><em>Pendant plus de cinquante ans, Baron Jerry von Lind a peint de belles femmes dans le pur style vintage de l’âge d’or des pin-ups. Au fil du temps, ses toiles sont devenues de plus en plus populaires et se vendent aujourd’hui à prix d’or partout dans le monde. En voici la quintessence, réunie dans un somptueux calendrier</em>.<br />
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<br /></p>
<p><em><strong>Osez changer de sexe</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Axel%20L%C3%A9otard">Axel Léotard</a></strong><br />
<em>Changer de sexe… Une des décisions les plus graves et l’aventure la plus complexe qu’un être humain doit affronter. Ce livre vous en dira tout, sans rien dissimuler des épreuves et du processus psychologique et médical qui conduit un homme à devenir femme et une femme à devenir un homme. Nul autre qu’Axel Léotard, qui a pris cette décision et vécu ces aventures, n’était mieux placé pour écrire ce guide</em>.
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<p><em><strong>Candide</strong></em>, <strong>avec des scènes érotiques</strong>, de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Voltaire">Voltaire</a> et <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Bernard%20Gu%C3%A9rin">Bernard Guérin</a><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.candide_X_s.jpg" alt="candide_X.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="candide_X.jpg, juil. 2013" />
<em>Après</em> Manon Lescault <em>et</em> Carmen, <em>un nouveau titre de la collection ClassX, qui dévergonde les romans classiques en y ajoutant des scènes de sexe. Cette fois, c’est l’infréquentable docteur ès pornographie Bernard Guérin qui s’y colle, en ajoutant à</em> Candide t<em>outes les scènes que Voltaire a pensé très fort sans oser les écrire. A la Musardine, on ose, c’est un peu la marque de fabrique de la maison</em>.<br />
<br /></p>
<p><em><strong>Osez 20 histoires de sexe avec des pompiers</strong></em><br />
<em>Ce 17ème volume de la série</em> « Osez 20 histoires », <em>la collection de nouvelles érotiques à thème de</em> la Musardine, <em>décline cette fois un</em> <em>classique des fantasmes féminins : l’héroïque et viril pompier. Plus incandescentes que jamais, les plumes de la collection ont sorti la lance à</em> <em>fantasmes et ouvert les vannes de leur imagination sans limite pour dévergonder les soldats du feu. Vous avez le feu au cul ? Composez le 18!</em> <br />
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<p><strong>Sortie le 26 septembre 2013</strong><br />
<em>Que fabriquent donc les hommes ensemble</em> ? <em>une anthologie érotique</em>, de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Michel%20Vignard">Michel Vignard</a></strong><br />
<em>Cette somme de 500 pages à la gloire de l’homosexualité masculine et de ses fantasmes les plus variés présente plus de 250 extraits de textes, français comme étrangers, d’Esope à Chuck Pahlaniuk. On doit cette passionnante anthologie à Michel Vignard, auteur de nouvelles érotiques, éditeur, critique littéraire chez Art Press et producteur délégué à France Culture</em>.<br /></p>
<p><em><strong>Pornstar</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Anthony%20Sitruk">Anthony Sitruk</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.pornstar_s.jpg" alt="pornstar.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="pornstar.jpg, juil. 2013" />
<em>Alan, une ancienne star du porno des années 80, exploite comme il peut son restant de réputation dans les milieux glauques du X amateur et du libertinage. Jusqu’au jour où une rencontre et une proposition de rôle dans un film traditionnel vont bouleverser sa vie… Un roman plein</em> <em>d’humour, d’humanité et bien sûr de sexe bien moite, assorti d’un panorama passionné de l’histoire du X depuis Brigitte Lahaie</em>.<br />
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<br /></p> La rentrée littéraire Métailiéurn:md5:bf900a69214234d5fea7dcb99bb33ee12014-06-18T10:39:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Adriana LISBOAArnaldur INDRIDASONJames MeekJavier SEBASTIÁNValter Hugo MÃE
<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>22 août</strong><br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Coeur_par_effraction_HD_s.jpg" alt="Layout 1" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Layout 1, mai 2013" /><em><strong>Le coeur par effraction</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/James%20MEEK">James MEEK</a></strong> (Écosse)<br />
<em>Seriez‐vous capable de trahir un être cher</em> ? <em>Bec, Rebecca, est une grande chercheuse scientifique, elle travaille sur la malaria, son frère Ritchie est une ex‐rock star devenu producteur de télévision. Leur père, un officier, a été tué en Irlande pour avoir refusé de trahir un informateur. Lorsque Bec refuse d’épouser le puissant directeur d’un magazine people, celui‐ci se venge en menaçant Ritchie de révéler ses frasques s’il ne lui donne pas d’informations scabreuses sur sa soeur. Bec est à son tour mise à l’épreuve dans son mariage lorsqu’elle décide d’avoir un enfant malgré tout. Le frère et la soeur devront choisir entre la loyauté et la trahison</em>.<br />
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<p><strong>29 août</strong><br /></p>
<p><em><strong>L’Apocalypse des travailleurs</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Valter%20Hugo%20M%C3%83E">Valter Hugo MÃE</a></strong> (Portugal)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Apocalypse_des_travailleurs_HD_s.jpg" alt="Layout 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Layout 1, mai 2013" />
<em>Maria da Graça est femme de ménage, elle a l’ambition de mourir d’amour. C’est pourquoi elle rêve toutes les nuits qu’elle essaye d’entrer au paradis pour y retrouver Monsieur Ferreira, son patron, qui, bien qu’avare et ayant abusé d’elle, lui a parlé de Goya, Rilke, Bergman ou Mozart comme ayant impressionné Dieu lui‐même. Mais les portes du paradis sont encombrées de marchands de souvenirs et saint Pierre la repousse chaque fois. Quitéria son amie se prostitue mais tombe amoureuse d’un émigré ukrainien désespéré</em>.<br />
<em>Comme Maria da Graça, tous les personnages de ce roman cherchent leur paradis, et pleins d’espoirs ou sans aucun espoir d’être un jour heureux, ils pensent que le bonheur vaut tous les risques, même celui de sauter allègrement dans l’abîme</em>.<br />
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<p><strong>05 septembre</strong><br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Cycliste_de_tchernobyl_HD_s.jpg" alt="Layout 1" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Layout 1, mai 2013" /><em><strong>Le Cycliste de Tchernobyl</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Javier%20SEBASTI%C3%81N">Javier SEBASTIÁN</a></strong> (Espagne)<br />
<em>Un vieil homme hagard, entouré de sacs remplis de vêtements, est abandonné dans un selfservice sur les Champs‐Elysées. « Ne les laissez pas me tuer », c’est tout ce qu’il parvient à prononcer, après plusieurs jours de silence buté. Deux Kilos, obscur fonctionnaire, représentant officiel de l’Espagne à la Conférence Internationale des Poids et Mesures, se voit contraint de le recueillir – les services sociaux français sont persuadés qu’il est son père</em>.<br />
<em>Ce roman magistral est librement inspiré de la vie de Vassili Nesterenko, physicien spécialiste du nucléaire qui travaillait pour l’armée… Envoyé sur les lieux de la catastrophe, il prend vite conscience de l’ampleur du désastre et tente d’informer la population. Il en sait trop. Il faut l’empêcher de parler. Le KGB est à ses trousses, il doit fuir</em>.<br />
<em>Des paysages hallucinés aux aberrations du système soviétique, Sebastián signe un roman documentaire d’une force rare, à la fois glaçant et étrangement beau, hymne à la résistance dans un monde dévasté</em>.<br />
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<br /></p>
<p><strong>12 septembre</strong><br /></p>
<p><em><strong>Bleu corbeau</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Adriana%20LISBOA">Adriana LISBOA</a></strong> (Brésil)<br />
<em>Après la mort de sa mère, Evangelina décide de quitter Rio pour les Etats‐Unis, où elle est née 13 ans auparavant, et d’y retrouver son père. En compagnie de Fernando, l’ex-mari de sa mère, et d’un petit voisin salvadorien, Carlos, elle recueille les souvenirs des autres pour organiser sa propre histoire. Au cours de ce voyage à travers le Colorado et le Nouveau‐Mexique, en écoutant les récits de Fernando, elle prend conscience du passé du Brésil. Il a en effet fait partie d’une guérilla maoïste en Amazonie</em>.
<em>Avec un style sobre et élégant, Adriana Lisboa nous propose une réflexion sur l’appartenance. Tous ses personnages sont en transit, ils habitent tous des lieux précaires, mouvants, parlent des langues qui ne sont pas les leurs, les mêlent. Elle raconte ces mémoires provisoires, faites de souffrance bien sûr mais aussi remplies d’amitiés sincères, et termine ce roman au moment où la vie de son héroïne commence vraiment, où elle occupe dans le monde un espace qui lui appartient</em>.<br /><br /></p>
<p><strong>POLAR</strong><br />
<strong>12 septembre</strong><br />
<em><strong>Le Livre du roi</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Arnaldur%20INDRIDASON">Arnaldur INDRIDASON</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Livre_du_roi_HD_s.jpg" alt="Layout 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Layout 1, mai 2013" />
<br />
En 1955, un jeune étudiant en histoire arrive pour faire ses études Copenhague, là il va se lier d’amitié avec un étrange professeur, peu soigné et buvant sec, spécialiste des Sagas islandaises, ce patrimoine culturel inestimable qu’ont protégé les Islandais au long des siècles comme symbole de leur nation. Il découvre le secret du professeur, l’une de ces Sagas, Le Livre du Roi, dont les récits ont été à l’origine des mythes germaniques mis en scène par Wagner dans la Tétralogie, a été volée par les nazis pendant la guerre.<br />
Ensemble le professeur et son disciple réticent qui ne rêve que de tranquillité vont traverser l’Europe à la recherche de l’inestimable manuscrit. Un trésor pour lequel certains sont prêts à voler et à tuer. Un trésor aussi sur lequel on peut veiller et qu’on peut aimer sans en connaître la valeur. Une histoire inhabituelle sur ce qu’on peut sacrifier et ce qu’on doit sacrifier pour un objet aussi symbolique qu’un livre.<br /></p>
<p><em>Le Livre du Roi</em> a été écrit en 2006, entre <em>Hiver arctique</em> et <em>Hypothermie</em>.<br />
<br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).<br /></p> La rentrée littéraire Joëlle Losfeldurn:md5:a6e5785c6053ce52702e298ca9d9f5ce2014-06-18T10:39:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Dermot BolgerJonathan Ames
<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>Le 29 août 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>Tu n’as jamais vraiment été là</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Jonathan%20Ames">Jonathan Ames</a></strong> (États‐Unis)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Tu_n__as_pas_ete_tres_souvent_la_s.jpg" alt="Tu_n__as_pas_ete_tres_souvent_la.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Tu_n__as_pas_ete_tres_souvent_la.jpg, mai 2013" />
<em>Joe, ancien marine et ex‐agent du FBI, a vu son comptant de scènes de crimes. Et ce n’est pas sa vie sentimentale ou amicale qui va lui mettre du baume au coeur</em>:
<em>solitaire et tourmenté, il ne se lie à personne</em>.<br />
<em>Lorsqu’un homme politique de premier plan l’engage en tant que détective privé pour sortir sa fille adolescente des griffes de la prostitution, il découvre un réseau de corruption inimaginable. Et quand la seule personne à qui il tient encore est enlevée, Joe renonce à sa promesse de ne pas faire de mal. Et s’il y a quelqu’un qui sait tuer pour la vérité, c’est bien Joe</em>.<br />
<em>Hommage à Raymond Chandler et à la série des Parker de Donald Westlake, ce roman noir témoigne de la diversité du talent de Jonathan Ames : à la fois drôle, noir, plein de suspense et absurde, bien entendu</em>.<br />
<br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Une_Illusion_passagere_s.jpg" alt="Une_Illusion_passagere.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Une_Illusion_passagere.jpg, mai 2013" /><em><strong>Une illusion passagère</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Dermot%20Bolger">Dermot Bolger</a></strong> (Irlande)<br />
<em>Martin, haut fonctionnaire irlandais d’une cinquantaine d’années, rattaché à un ministère en bout de course, se retrouve, le temps d’un voyage officiel en Chine, seul dans sa luxueuse chambre d’hôtel. Accablé par une existence terne, entre une épouse avec qui il ne partage plus aucune intimité, et trois filles qui sont déjà absorbées par leur vie d’adultes, il décide de s’offrir un massage durant son séjour</em>.<br />
<em>Le jeune femme chinoise qui vient le masser ne parle pas sa langue et ne partage rien de sa vie : mère célibataire, elle peine à joindre les deux bouts, mais ce qu’elle lui procure est autrement précieux : le plaisir d’être touché, la sensation d’être désiré. Une complicité naît entre eux, que rompt la proposition de la jeune femme de monnayer ses charmes. Martin va‐t‐il céder à cet appel qui le déroute et le tente</em> ?<br />
<em>En l’espace d’une nuit, l’écriture dense et acérée de Dermot Bolger, d’une grande sensibilité, condense la vie d’un homme, ses convenances, ses incertitudes et son trouble. Dans une interrogation existentielle semblable à celle que traverse l’Irlande, Martin aura au moins retrouvé un peu de ce qu’il est</em>.<br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Léo Scheerurn:md5:0cec298599696dd0bf49fdfb5059cbe12014-06-18T10:38:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Angie DavidClément BosquéEmmanuelle MaffesoliFabrice PliskinIsabelle MillerLilian AuzasRachida Khalil
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_Voix_inferale_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Mise en page 1, mai 2013" /><strong>28 août 2013</strong><br /><em><strong>La voix impitoyable</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Lilian%20Auzas">Lilian Auzas</a><br />
<em>En miroir de Riefenstahl, La Voix impitoyable est le deuxième volet d’un diptyque consacré à la Deuxième guerre mondiale, du point de vue non pas des victimes, mais des bourreaux</em>.<br />
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<p><em><strong>Impasse des bébés gris</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Fabrice%20Pliskin">Fabrice Pliskin</a><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Impasse_des_bebe_gris_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, mai 2013" />
<em>Récit tendre et burlesque digne d’une bande-dessinée de Gotlib, Impasse des bébés gris est une satire douce-amère du monde contemporain gouverné par les médias et la quête de reconnaissance</em>.<br />
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<br /></p>
<p><strong>4 septembre 2013</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Sylvia_Bataille_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Mise en page 1, mai 2013" /><em><strong>Sylvia Bataille</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Angie%20David">Angie David</a><br />
<em>À la manière des romanciers du réel, Angie David s’empare d’un personnage qui a existé pour en recréer la vie supposée. Grâce à la fiction, elle reconstitue une époque mythique et la transforme en épopée, donnant corps aux artistes et aux penseurs qui ont marqué le XXe siècle, tout en y projetant beaucoup d’elle-même</em>.<br />
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<br /></p>
<p><strong>11 septembre 2013</strong><br />
<em><strong>Complément d'objet direct</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Rachida%20Khalil">Rachida Khalil</a><br />
<em>Avec impertinence et tendresse, Rachida Khalil nous raconte une histoire d’amour entre deux êtres que tout oppose</em>.<br />
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<p><em></em><strong>Septembre ! Septembre !</strong><em></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Emmanuelle%20Maffesoli">Emmanuelle Maffesoli</a> et <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Cl%C3%A9ment%20Bosqu%C3%A9">Clément Bosqué</a><br />
<em>Entre impasses affectives et rébellions conformistes, la quête parodique d’un jeune homme pour l’ancrage poétique dans le monde.</em><br />
<br /></p>
<p><strong>2 octobre 2013</strong><br />
<em><strong>La déclaration d'amour</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Isabelle%20Miller">Isabelle Miller</a><br />
<em>La déclaration d’amour, funambule sur le fil du récit tendu par le désir des personnages et celui des lecteurs.</em><br /><br />
<br />
<strong>(Les résumés sont de l'éditeur)</strong>.</p> La rentrée littéraire du Seuilurn:md5:2ccfbe0ec75fa6aee4dd4f81630591262014-06-18T10:38:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Actes SudChantal THOMASCharif MajdalaniCloé KORMANdont quatre pour le seul Patrik DevilleJ. M. COETZEEJean-Daniel BALTASSATJérôme FerrariKevin ORRNadeem ASLAMOlivier BetournéPaolo GIORDANOPatrick Devilleprix du roman Fnacprix Féminaprix GoncourtSaber MANSOURISam BYERSSeuil
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Seuil_logo_s.jpg" alt="Seuil_logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Seuil_logo.jpg, mai 2013" />La rentrée 2012 fut un bon moment pour les éditions du <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Seuil">Seuil</a>. Plusieurs récompenses dont le Prix Nobel, Le <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/prix%20du%20roman%20Fnac">prix du roman Fnac</a>, le <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/prix%20F%C3%A9mina">prix Fémina</a>, le prix des prix littéraires, ces trois derniers pour <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Patrick%20Deville">Patrick Deville</a> et "Peste & Choléra". Mais pas le <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/prix%20Goncourt">prix Goncourt</a> qui lui a été ravi par <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Actes%20Sud">Actes Sud</a> (face à Deville justement) et <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/J%C3%A9r%C3%B4me%20Ferrari">Jérôme Ferrari</a> pour son roman "La chute de Rome". L'année 2013 sera-t-elle celle de la consécration pour <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Olivier%20Betourn%C3%A9">Olivier Betourné</a>, aux commandes du <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Seuil">Seuil</a> depuis janvier 2010?.<br /></p>
<p><strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>22 août 2013</strong><br />
<em><strong>Le Divan de Staline</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Jean-Daniel%20BALTASSAT">Jean-Daniel BALTASSAT</a><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_divan_de_Staline_s.jpg" alt="Le_divan_de_Staline.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Le_divan_de_Staline.jpg, mai 2013" />
<em>Staline, un Staline qui n’a plus que trois ans à vivre, se retire quelques jours dans sa Géorgie natale. La Vodieva, sa maîtresse de longue date, le rejoint dans le palais décadent où il s'est installé. Elle est accompagnée d’un jeune peintre qu’elle protège. Ce Danilov, prodige du réalisme socialiste, a conçu une oeuvre inouïe pour célébrer la glorieuse éternité du Petit Père des peuples</em>.
<em>Allongé sur un divan étrangement identique à celui de Freud, Staline joue avec les fantômes qui hantent ses rêves : sa mère, son épouse suicidée, ses années de Sibérie et Lénine, le plus grand des pères menteurs. Autour de celui qui ne tremble jamais, il n’y a que terreur, soumissions, impitoyable cruauté : son véritable monument d’éternité</em>.<br />
<br /></p>
<p>''<strong>Les Saisons de Louveplaine'</strong>' de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Clo%C3%A9%20KORMAN">Cloé KORMAN</a><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Les_saisons_de_Louveplaine_s.jpg" alt="Les_saisons_de_Louveplaine.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Les_saisons_de_Louveplaine.jpg, mai 2013" /><em>Nour, jeune femme algérienne, n’a plus de nouvelles d’Hassan, son mari parti travailler en France. Elle prend l’avion, arrive à Louveplaine, banlieue où il a promis de la faire venir avec leur petite fille. Mais, au 15e étage de la tour Triolet, l’appartement est vide. Hassan a disparu. Désemparée mais déterminée à retrouver son mari, Nour fait connaissance avec les habitants de la cité, découvre leur vie, leurs espoirs, leurs secrets. Sonny, bon élève au lycée mais mêlé à tous les trafics locaux, s’impose à elle, tantôt amical, tantôt menaçant. Nour avance à tâtons, alors que la sombre renommée de son mari se dessine sur fond d’économies parallèles et de démantèlements urbains qui mettent la cité sous tension</em>.<br />
<em>La vivacité des scènes et des personnages, l’originalité de l’écriture, l’invention littéraire, donnent une ampleur rare au roman et confirment les dons exceptionnels de Cloé Korman</em>.<br />
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<br /></p>
<p><em><strong>Le Dernier Seigneur de Marsa</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Charif%20MAJDALANI">Charif MAJDALANI</a><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_dernier_seigneur_de_Marsad_s.jpg" alt="Le_dernier_seigneur_de_Marsad.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Le_dernier_seigneur_de_Marsad.jpg, mai 2013" />
<em>Beyrouth, quartier de Marsad, 1964. Simone, la fille cadette de Chakib Khattar, un chrétien ayant fait fortune dans le négoce du marbre, est enlevée parHamidChahine, le bras droit de son père. Ce rapt amoureux est un déchirement pour Chakib Khattar : obsédé par la transmission de son patrimoine et se heurtant à l’incapacité ou à l’indifférence de ses héritiers légitimes, il a fait de Hamid plus que son homme de confiance, une sorte de fils spirituel. À Marsad, l’affaire fait grand bruit, mais l’enlèvement tourne court, lorsque les deux amants tentent de se marier clandestinement</em>.
<em>Khattar retrouve sa fille, la met sous clé et Hamid prend le large. Il ira travailler en Arabie, mettant sur pied un commerce d’eau de lavande avec des parfumeurs français. Simone, elle, s’émancipera comme elle le peut dans les bras d’amants de passage</em>.
<em>Les années suivantes voient le Liban s’enfoncer dans le chaos, entre 1975 et le milieu des années 1980. Chakib devient alors le témoin impuissant de ces convulsions qui affecteront durement son négoce et compromettront son statut de notable chrétien dans un pays livré aux milices et au chaos</em>.<br />
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<p><em><strong>Je suis né huit fois</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Saber%20MANSOURI">Saber MANSOURI</a><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Je_suis_ne_huit_fois_s.jpg" alt="Je_suis_ne_huit_fois.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Je_suis_ne_huit_fois.jpg, mai 2013" />
<em>Le souffle d’une vie naît d’une rencontre entre un enfant devenu jeune adulte, Massyre, et un lieu, la Montagne Blanche, particulièrement apprécié par tous les conquérants venus visiter la Tunisie. Le lieu est unique. Massyre est multiple</em>.
<em>Il y a d’abord ses sept soeurs et leurs destins qui le regardent en silence, lui, le garçon, le huitième. Et puis, il y a ses huit métiers : suiveur de chèvres jusqu’à l’abattoir, chercheur de l’escargot souterrain, helix aperta, vendeur de fruits sauvages, d’eau à la criée, de boissons gazeuses, négociant en journaux au kilo et fripier. En parallèle, Massyre va à l’école primaire, au collège, au lycée. À l’université, il fait une rencontre déterminante avec l’Histoire. Il devient professeur d’histoire et de géographie au lycée de la Montagne Blanche. Mais peut-on enseigner le passé dans le lieu de son commerce et de sa grande Histoire</em>?
<em>Renonçant à sa part d’héritage au profit de ses soeurs, Massyre décide de partir au-delà de la Montagne Blanche, à la recherche d’un manuscrit irakien. Mais cette quête du texte tant désiré va-t-elle lui donner la force de se débarrasser définitivement d’une culpabilité proche de la malédiction</em> ?<br />
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<p><em><strong>Le Produit</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Kevin%20ORR">Kevin ORR</a><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_produit_s.jpg" alt="Le_produit.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Le_produit.jpg, mai 2013" />
<em>Le narrateur, âgé d’une trentaine d’années, vit à Paris. Son obsession, c’est le Produit. Il s’efforce de ne pas y songer, mais sans cesse revient en lui la sensation demanque. Il faudrait pouvoir penser à autre chose. Changer d’air. Départ pour New York, chez un couple d’amis qui font office de parents adoptifs depuis l’enfance. Ils sont un peu effrayés de le trouver dans cet état, ils le connaissent pourtant depuis longtemps. Quelques jours à la campagne, au bord de l’Hudson, puis retour à New York, puis Paris de nouveau. Comment se délivrer de ce satané Produit</em> ?
<em>Le livre est le journal de bord de cette souffrance créée par le manque, peu à peu compensée par l’écriture. Notamment celle de morceaux romanesques où l’on échappe miraculeusement mais provisoirement à l’obsession du Produit. La littérature prend alors une dimension cathartique, elle seule semble à même de sauver l’auteur, dans une langue nerveuse, irritée, violente, presque syncopée</em>.<br />
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<p><em><strong>L’Échange des princesses</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Chantal%20THOMAS">Chantal THOMAS</a><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.L__echange_des_princesses_s.jpg" alt="Echange des princesses 111913-J-crg.indd" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Echange des princesses 111913-J-crg.indd, mai 2013" />
<em>En 1721, Philippe d’Orléans est Régent, dans l’attente que Louis XV atteigne la maturité légale. L’exercice du pouvoir est agréable, il y prend goût. Lui vient alors une idée de génie : proposer à Philippe V d’Espagne un mariage entre Louis XV, âgé de onze ans, et la très jeune Infante, Maria Anna Victoria, âgée de quatre ans. Un pari sur le temps qui court, l’espoir d’un « malheur » qui l’assiérait définitivement sur le trône. Et il ne s’arrête pas là : il propose aussi de donner sa fille, Mademoiselle de Montpensier, comme épouse au jeune prince des Asturies, futur héritier du trône d’Espagne, pour conforter ses positions</em>.
<em>La réaction à Madrid est enthousiaste, les choses se mettent vite en place. L’échange des princesses a lieu début 1722, en grande pompe, sur une petite île au milieu de la Bidassoa, la rivière qui fait office de frontière entre les deux royaumes. Tout pourrait aller pour le mieux mais rien ne se déroulera comme prévu. Louis XV dédaigne l’Infante, perdue dans l’immensité subtile et tourbillonnante du Louvre et de Versailles, pendant qu’en Espagne, Mademoiselle de Montpensier se refuse à son mari, au grand dam de ses beaux-parents. Un autre échange aura lieu par la suite, beaucoup plus discret, chacune des princesses retournant dans son pays</em>.<br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>22 août 2013</strong><br />
<em><strong>Le Jardin de l’aveugle</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Nadeem%20ASLAM">Nadeem ASLAM</a> (Pakistan)<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_jardin_de_l__aveugle_s.jpg" alt="Jardin aveugle 108371-J-crg.indd" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Jardin aveugle 108371-J-crg.indd, mai 2013" />
<em>Dans les mois qui suivent les attentats du 11 septembre, deux jeunes gens, Jeo et son frère adoptif Mikal, l’un étudiant en médecine, l’autre rompu au maniement des armes, quittent leur bourgade du nord pakistanais pour se rendre clandestinement en Afghanistan, porter secours à leurs frères musulmans. Jeo laisse derrière lui Naheed, la beauté qui est devenue son épouse, et son père Rohan, veuf inconsolable qui perd peu à peu la vue et dont le seul réconfort est son magnifique jardin. Très vite, Mikal et Jeo sont séparés, engloutis dans la spirale des affrontements qui opposent Américains et talibans et dont profitent les seigneurs de guerre sans scrupules</em>.
<em>Dans Le Jardin de l’aveugle, Aslam met en scène avec une empathie exceptionnelle ses personnages dans toutes leurs contradictions, des êtres bousculés, malmenés par le destin. La mort est omniprésente mais la vie aussi, vibrante de couleurs, de parfums et d’amour. Il n’y a qu’une leçon à retenir, celle de vivre à tout prix</em>.<br />
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<p><em><strong>Idiopathie</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Sam%20BYERS">Sam BYERS</a> (Grande-Bretagne)<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Idiopathie_s.jpg" alt="idiopathie 109986-J-crg.indd" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="idiopathie 109986-J-crg.indd, mai 2013" />
Idiopathie <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?post/2013/05/16/idjopati" title="idjopati">idjopati</a> n. f. : <em>Maladie ou état qui apparaît spontanément ou dont la cause est inconnue</em>.<br />
<em>Qui va mal dans le roman de Sam Byers ? Tout le monde, à commencer par Katherine, qui n’aime rien ni personne, et surtout pas elle-même. La trentaine, coincée dans un job minable, enchainant les déceptions amoureuses, elle se demande s’il n’est pas temps de tirer un trait sur le bonheur en général. Ou bien Daniel, son ex, qui vit confortablement avec sa nouvelle petite amie et occupe un poste important dans une unité de recherche biologique. La vie en rose, peut-être, mais sous la perfection des apparences, quelque chose cloche sérieusement. Ou encore Nathan, qui fut leur ami et qui se remet d’un séjour en hôpital psychiatrique, épisode douloureux dont sa mère s’est emparée sans scrupule pour écrire un témoignage en passe de devenir un bestseller</em>.
Idiopathie <em>est une comédie cinglante qui dresse le portrait d’une génération – les trentenaires des années 2000 – et d’une société à la dérive. Styliste hors pair et maître dans l’art de l’autodérision, Sam Byers dissèque les failles d’une époque qui se laisse aller à la mélancolie, même si ce n’était guère mieux avant</em>.<br />
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<p><em><strong>Une enfance de Jésus</strong></em> <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/J.%20M.%20COETZEE">J. M. COETZEE</a> (Afrique du Sud, prix Nobel 2003)<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Une_enfane_de_Jesus_s.jpg" alt="Une enfance de Jésus j-109985-crg.indd" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Une enfance de Jésus j-109985-crg.indd, mai 2013" />
<em>Le jeune David et Simón, son protecteur, sont arrivés par bateau au camp de Belstar où ils ont été reconditionnés afin de s’intégrer dans leur nouveau pays : nouveaux noms, nouvelles dates de naissance, mémoire lavée de tous souvenirs et apprentissage rapide de la langue locale. Ils ont traversé le désert et ont atterri au centre d’accueil de Novilla qui leur alloue immédiatement un logement et un emploi, ainsi que maints services gratuits. David ayant perdu en mer la lettre authentifiant sa filiation, Simón se fait le serment de lui trouver une mère que son intuition seule désignera. Inés, une trentenaire, est l’élue. Elle accapare l’enfant, dont elle fait sa chose, et le soustrait au système éducatif, par la fuite vers une autre vie</em>.<br />
<em>Coetzee s’intéresse ici au traitement utopique des réfugiés dans un système bureaucratique strictement réduit à son efficacité. Il explore les rapports pédagogiques et tendres entre Simón et David, enfant précoce, parfois cabochard, dans une société purgée de passion, pointant les effets de l’ignorance dans laquelle se trouve un enfant qui ne connaît pas ses parents biologiques</em>.<br />
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<p><em><strong>Le Corps humain</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Paolo%20GIORDANO">Paolo GIORDANO</a> (Italie)<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_corps_humain_s.jpg" alt="Le_corps_humain.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Le_corps_humain.jpg, mai 2013" />
<em>Le peloton Charlie, envoyé en mission de « paix » en Afghanistan, rassemble des soldats issus de tous les horizons : Cederna, un fort en gueule qui rêve d’entrer dans un corps d’élite, Ietri, son jeune disciple, la blonde et courageuse Zampieri, Mitrano, le souffre-douleur, ou encore Torsu, à la santé fragile. Encadrés par un colonel vulgaire et coureur, un capitaine austère et un adjudant qui exerce parallèlement l’activité de gigolo, ils vont être confrontés au danger, à l’hostilité, à la rébellion du corps humain et au désoeuvrement d’une base avancée, bastion fantomatique au milieu du désert. Mais aussi et surtout à eux-mêmes : leurs craintes, leurs complexes, leurs démons qui les poursuivent à des milliers de kilomètres de chez eux. Jusqu’à cette opération à l’extérieur de la base, qui se transforme en cauchemar et fait voler toutes leurs certitudes en éclats</em>.<br />
<em>Plus qu’un roman de guerre, Le Corps humain est un roman d’apprentissage où le conflit armé apparaît comme un rite d’initiation au monde adulte, et la famille comme une guerre tout aussi redoutable. Giordano fait preuve ici d’une maîtrise et d’une maturité surprenantes pour un deuxième roman. Décidément doué d’une sensibilité hors du commun, il s’y montre un excellent investigateur de l’âme humaine</em>.<br />
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(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Rivagesurn:md5:0de9ff43bd2b73e4aafdc1e6c3ef15d92014-06-18T10:38:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Actes SudBarbara KingsolverCéline MinardDenoëlDéborah Lévy-BertheratMartyn Waitespremier romanRivages
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/Rivages_Logo.jpg" alt="Rivages_Logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Rivages_Logo.jpg, mai 2013" /><br />
Les éditions <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Rivages">Rivages</a>, rachetées par <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Actes%20Sud">Actes Sud</a> au début de l'année (v<a href="http://www.lalettredulibraire.com/index.php?post/2013/01/03/Actes-sud-rach%C3%A8te-100%25-des-%C3%A9ditions-Payot-Rivages">oir notre actualité</a>), publient deux romans français, dont "<em>Faillir être flingué</em>" de Céline Minard, transfuge des éditions <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Deno%C3%ABl">Denoël</a>.<br />
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<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>21 août 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>Faillir être flingué</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/C%C3%A9line%20Minard">Céline Minard</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Faillir_etre_flingue_s.jpg" alt="Faillir_etre_flingue.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Faillir_etre_flingue.jpg, mai 2013" />
<em>Western des origines, véritable épopée fondatrice, tantôt lyrique, dramatique ou burlesque, Faillir être flingué est d’abord une vibrante célébration des frontières mouvantes de l’imaginaire</em>.<br />
<em>Un souffle parcourt l’espace inhospitalier des prairies vierges du Far-West, aux abords d’une ville naissante vers laquelle toutes les pistes convergent. C’est celui d’Eau-qui-court-sur-la plaine, une jeune Indienne dont tout le clan a été décimé, et qui, depuis, déploie ses talents de guérisseuse aussi bien au bénéfice des</em> <em>Blancs que des Indiens</em>.<br />
<em>Elle rencontrera les frères Brad et Jeff traversant les grands espaces avec leur vieille mère mourante dans un chariot brinquebalant tiré par deux bœufs opiniâtres ; Gifford qui manque de mourir de la variole et qu’elle sauve in extremis ; Elie poursuivi par Bird Boisverd dont il a dérobé la monture, Arcadia, la musicienne itinérante, qui s’est fait voler son archet par la bande de Quibble. Et tant d’autres personnages, dont les destins singuliers, tels les fils entretissés d’une même pelote multicolore, composent une fresque sauvage où le mythe de l’Ouest américain, revisité avec audace et brio, s’offre comme un espace de partage encore poreux, ouvert à tous les trafics, à tous les transits, à toutes les itinérances</em>.<br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Les_voyages_de_Daniel_Asher_s.jpg" alt="Les_voyages_de_Daniel_Asher.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Les_voyages_de_Daniel_Asher.jpg, mai 2013" /><strong><em>Les voyages de Daniel Ascher</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/D%C3%A9borah%20L%C3%A9vy-Bertherat">Déborah Lévy-Bertherat</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br />
<em>Hélène est la petite nièce de Daniel Roche, l’auteur, sous le pseudonyme de H. R. Sanders, d’une fameuse série de romans d’aventures à succès, La Marque noire. Quand elle s’installe à Paris pour y étudier l’archéologie, l’écrivain lui prête sa chambre de bonne</em>.<br />
<em>Elle est alors amenée à fréquenter ce personnage un peu loufoque qu’elle n’apprécie guère et dont elle n’a jamais lu les livres. Son ami Guillaume en est, lui, un lecteur fanatique et tente d’initier Hélène à sa passion.</em><br />
<em>En se prenant au jeu des histoires de La Marque noire, celle-ci va bientôt être happée par une aventure d’un tout autre genre : elle va mettre au jour des pans enfouis de l’enfance et de la jeunesse de Daniel et, dans le sillage, exhumer un secret lourd qui remonte aux heures sombres de l’Occupation</em>. <em>Les lecteurs de H. R. Sanders attendent quant à eux le vingt-quatrième volume de la série, dont les rumeurs prétendent qu’il sera le dernier.</em><br /><br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>21 août 2013</strong>
<strong><em>Dans la lumière</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Barbara%20Kingsolver">Barbara Kingsolver</a></strong> (États-Unis)<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Dans_la_lumiere_s.jpg" alt="Dans_la_lumiere.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Dans_la_lumiere.jpg, mai 2013" />
<em>Dellarobia Turnbow s’ennuie. Mariée trop tôt, elle mène une vie de mère au foyer dans une ferme des Appalaches. Lors d’une promenade familière, elle assiste à un étrange phénomène : une « vallée de feu », fascinante de beauté mais effrayante. Ce qu’elle prend pour une apparition miraculeuse va devenir un enjeu collectif : la communauté religieuse de la ville pense y reconnaitre un signe de Dieu, alors que de nombreux scientifiques évoquent une anomalie climatique. Car ces reflets rougeoyants n’ont rien à voir avec des flammes. Ce sont les ailes de papillons qui ont étonnamment changé leur trajet migratoire</em>.<br />
<em>Ce coin isolé devient observé par le pays entier. Des curieux organisent des excursions, des journalistes s’emparent de l’affaire. Dellarobia, au centre de cette attention, comprend que de simples papillons vont bouleverser son existence, et peut-être l’ordre du monde</em>.<br />
<em>Dans ce nouveau roman, Barbara Kingsolver retrouve son territoire romanesque originel. Scientifique de formation, elle tient une place à part dans la littérature américaine car son œuvre est centrée sur des préoccupations écologiques. Récit militant, dénonçant l’opportunisme politique et médiatique, Dans la lumière révèle les angoisses de notre époque : ce besoin éperdu de croissance, de progrès pourrait-il devenir notre faiblesse ? Quel avenir attend les générations futures ?</em><br /></p>
<p><strong>RIVAGES THRILLER</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Ne_sous_les_coups_s.jpg" alt="Ne_sous_les_coups.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Ne_sous_les_coups.jpg, mai 2013" /><em><strong>Né sous les coups</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Martyn%20Waites">Martyn Waites</a></strong> (Angleterre) (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br />
<em>Histoire de l’impitoyable offensive de Margaret Thatcher et de sa victoire aux conséquences dévastatrices, histoire de criminels qui prospèrent sur la misère et la dégradation des liens sociaux, histoires d’amour contrariées, tragiques et poignantes, Né sous les coups est, sur deux générations, la fresque de tout un monde mis à terre et qui lutte pour survivre, au son de la musique anglaise des années 70 et 80</em>.<br />
<em>1984 : les Conservateurs de Thatcher sont au pouvoir. Les mineurs sont en grève. Deux tribus qui entrent en guerre », pour reprendre une célèbre chanson anglaise de l’époque</em>.<br />
<em>Vingt ans plus tard, les Travaillistes sont revenus aux affaires ; le système ferroviaire pourtant, la Santé ou l’Éducation sont en ruines. Où est l’amélioration</em> ?
<em>À Coldwell, cité minière du Nord, les mineurs ont lutté quasiment jusqu’à la mort, mais les Conservateurs, en manipulant l’opinion et n’hésitant pas à recourir à la violence policière ni à déformer la réalité, avaient à l’époque méthodiquement cassé les reins du mouvement ouvrier. Pour les vaincus, le prix de la défaite a été exorbitant : Une génération plus tard, Coldwell est une ville sinistrée et gangrenée par la criminalité</em>.<br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Sabine Wespieserurn:md5:17b83d7a59386acfdba9036fd7cfe5bf2014-06-17T22:16:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013LÉONOR DE RÉCONDOMARIE RICHEUXMICHAL GOVRIN
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/Sabine_Wespieser_logo.gif" alt="Sabine_Wespieser_logo.gif" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Sabine_Wespieser_logo.gif, mai 2013" /><br />
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<strong>29 août 2013</strong><br />
<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<em><strong>PIETRA VIVA</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/L%C3%89ONOR%20DE%20R%C3%89CONDO">LÉONOR DE RÉCONDO</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Pietra_Viva_s.jpg" alt="Pietra Viva" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Pietra Viva, mai 2013" />
<em>Michelangelo, en ce printemps 1505, quitte Rome bouleversé. Il vient de découvrir sans vie le corps d’Andrea, le jeune moine dont la beauté lumineuse le fascinait.Il part choisir à Carrare les marbres du tombeau que le pape Jules II lui a commandé. Pendant six mois, cet artiste de trente ans déjà, à qui sa pietà a valu gloire etrenommée, va vivre au rythme de la carrière, sélectionnant les meilleurs blocs, les négociant, organisant leur transport. Sa capacité à discerner la moindre veine dans la montagne a tôt fait de lui gagner la confiance des tailleurs de pierre</em>.<br /></p>
<p><strong>3 octobre 2013</strong><br />
<em><strong>POLAROIDS</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/MARIE%20RICHEUX">MARIE RICHEUX</a></strong><br />
<em>Chacune de ces courtes fictions, lues quotidiennement sur France Culture dans l’émission « Pas la peine de crier » que produit Marie Richeux, entend faire naître une image progressivement, comme se révélait la photographie sur un Polaroid. La présente sélection (d’une soixantaine sur plus de six cents écrites au fil des jours), dans sa forme aléatoire et buissonnière, révèle sans conteste le tempérament d’un écrivain</em>.</p>
<p><strong>3 octobre 2013</strong><br />
<strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<em><strong>L’AMOUR SUR LE RIVAGE</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/MICHAL%20GOVRIN">MICHAL GOVRIN</a></strong> (Israël)<br />
<em>Le petite ville côtière d’Ashkelon, au Sud d’Israël, est pour les trois protagonistes du nouveau roman de Michal Govrin le théâtre d’un amour d’été. Avec l’argent que ses parents lui ont donné pour un stage de secrétariat, Esther Weiss, qui vient d’achever sa scolarité dans un lycée religieux, s’offre une robe à bretelles et descend au dancing de la plage. Au bar, Moïse Derhy, arrivé droit de Paris pour l’enterrement de sa mère, boit un Campari. Son regard est aimanté par la jeune fille qui se tient, solitaire, à l’autre bout de la piste de danse, inconsciente de sa beauté. Derrière le comptoir, Alex Morgenstern, embauché au début de la saison alors qu’il débarquait de Buenos Aires, observe cet homme plus âgé que lui, dont il admire la mise élégante</em>.<br /><br />
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(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Au Diable Vauverturn:md5:b67df283c5b1b66e73ed8d6a6dda596c2014-06-17T22:16:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Douglas CouplandPierre BordageThomas GunzigWilliam Gibson
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Au_diable_vauvert_logo_s.jpg" alt="Au_diable_vauvert_logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Au_diable_vauvert_logo.jpg, mai 2013" /><strong>LITTERATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>22 août 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>Histoire zéro</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/William%20Gibson">William Gibson</a></strong><br />
<em>Les personnages de Gibson reprennent du service : Hollis, l’ex-rockeuse de Code Source, est de nouveau engagée par Hubertus Bigend, le tout-puissant directeur de l’agence Blue Ant. Elle est lancée sur la piste d’une nouvelle tendance, un blouson hors mode conçu par un designer inconnu, ce qui, paradoxalement, en fait la notoriété : la ligne de vêtements les Chiens de Gabriel est connue pour ne pas être célèbre et se veut atemporelle. Dans un monde où tout change à chaque nouvelle collection, cette permanence en fait un objet quasiment mythique</em>.<br />
<em>Milgrim, le junkie d’Identification des schémas, sorti d’une coûteuse cure de désintoxication, travaille aussi pour Bigend, qui l’utilise pour de l’espionnage industriel, afin de gagner des parts de marché dans le secteur des vêtements militaires. Blue Ant part du principe que le treillis est l’influence majeure du streetwear de ces dernières années : le marché du style est un champ de bataille</em> !<br />
<em>Quand un contrat avec le ministère de la Défense pour la vente de tenues militaires se révèle être un portail pour de mystérieux trafiquants d’armes et de drogues, Bigend se retrouve dépassé, dans un monde extrêmement dangereux. De Londres à Paris, les deux enquêteurs vont croiser le monde de la mode et les secrets militaires, les barbouzes et les créateurs</em>…<br />
Avec ce roman, Gibson clôt le cycle commencé par <em><strong>Identification</strong></em> des schémas et poursuivi par <em><strong>Code Source</strong></em>.<br />
<br /></p>
<p><em><strong>Manuel de survie à l’usage des incapables</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Thomas%20Gunzig">Thomas Gunzig</a></strong>.<br />
<em>Plaçant en exergue une citation d’Arnold Schwarzenegger, Thomas Gunzig revient au roman après cinq années de succès au théâtre, avec une dimension romanesque agrandie et un style plus drôle et ciselé que jamais. Comment un jeune employé malheureux, un assistant au rayon primeur, un baleinier compatissant et quatre frères, Blanc, Brun, Gris et Noir, quatre jeunes loups aux dents longues surentraînés et prêts à tout pour se faire une place au soleil, se retrouvent-ils liés par la conjonction fortuite d’un attentat frauduleux et d’un licenciement abusif</em> ?<br />
<em>On l’apprendra en suivant avec passion leurs aventures burlesques et noires dans les sinusoïdes étranges du destin, et leurs différentes façons de composer avec les sévères lois du cynisme contemporain</em>.<br /></p>
<p><strong>12 septembre 2013</strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Generation_A_s.jpg" alt="Generation_A.jpeg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Generation_A.jpeg, mai 2013" />
<em><strong>Génération A</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Douglas%20Coupland">Douglas Coupland</a></strong><br />
<em>En écho à son roman culte Génération X, Douglas Coupland nous entraîne dans une narration à cinq voix d’individus caractéristiques de leur génération. Dans un futur proche où les abeilles se sont éteintes, cinq personnes se font pourtant piquer ; et comme le monde de l’information et de la consommation décrit par</em> <em>Coupland ne jure plus que par internet, ces cinq personnages vont subir des examens (pourquoi eux ont-ils été piqués ?) et devenir les inoubliables célébrités de leur époque</em>.<br />
<em>Un scientifique charismatique aux intentions plus que douteuses finit par rassembler cet improbable quintet sur une île canadienne, et l’expérience de piqûre d’abeille qu’ils partagent va les unir d’une façon qu’ils n’auraient jamais pu imaginer</em>…<br /></p>
<p><br />
<br /></p>
<p><strong>SF</strong><br />
<em><strong>Chroniques des Ombres</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Pierre%20Bordage">Pierre Bordage</a></strong><br />
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''Après la guerre nucléaire, une pollution mortifère a confiné la partie privilégiée de la population mondiale dans des mégapoles équipées de filtres purificateurs d’air. La plupart des capitales sont désormais regroupées en Cités Unifiées. NyLoPa, la plus importante et stable des CU, réunit New York, Londres et Paris et compte
114 millions d’habitants. Les citoyens sont équipés d’une puce d’identité et la sécurité est assurée par une armée suréquipée qui fait office de police, les fouineurs, sorte de super détectives, un corps spécial composé d’individus sélectionnés pour leurs capacités analytiques''.<br />
<em>Dans ce monde en survie à l’équilibre plus que précaire, des centaines de meurtres sont soudain perpétrés, dans toutes les villes et en quelques minutes, par d’invisibles assassins. On soupçonne une secte d’en être à l’origine, mais l’enquête menée par les fouineurs va les plonger dans un enchevêtrement de complots et de luttes de pouvoir, tandis que les Ombres continuent de frapper de plus belle</em>.<br />
<em>Remontant la piste, les fouineurs vont être entraînés hors des cités, dans le « pays vague », à l’extérieur du monde civilisé, le lieux inconnu de tous les dangers</em>…<br />
<br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Stockurn:md5:7d56bcfe4bc5325def93e09b978d11542014-06-17T22:15:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/Stock_Logo.png" alt="Stock_Logo.png" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Stock_Logo.png, juin 2013" /><br />
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<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>Le 21 août 2013</strong><br />
<strong><em>MONDE SANS OISEAUX</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Karin%20Serres">Karin Serres</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.MondeSansOiseaux_s.jpg" alt="9782234073951.indd" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="9782234073951.indd, juin 2013" />
« Petite boîte d’os » <em>vit sur les bords d’un lac nordique avec un père pasteur, une mère fantasque et un frère sombre et violent. Rayonnante, « Petite boîte d’os » apprend beaucoup du vieux Joseph : faire du feu, cultiver son jardin ou plonger dans le lac sans déranger les morts. Car au fond de l’eau repose une forêt de cercueils,dernière demeure des membres de leur communauté</em>.<br />
<em>Une histoire féérique, aussi inquiétante qu’envoûtante. Un premier roman à l’originalité douce et troublante. Karin Serres est auteure de théâtre, notamment pour la jeunesse, décoratrice et metteuse en scène. Ses pièces sont jouées dans le monde entier. Elle a également publié des livres pour enfants et adolescents</em>.<br /><br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_Don_du_passeur_s.jpg" alt="9782234074712_9782234074712" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="9782234074712_9782234074712, août 2013" /><strong><em>LE DON DU PASSEUR</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Belinda%20Cannone">Belinda Cannone</a></strong><br />
<em>Ce que nous recueillons de nos parents, ce sont leurs aff ects, vivante et palpitante matière transmise à leur insu et au nôtre, irrémédiablement. J’ai essayé ici de saisir ce qui m’avait été transmis, cet héritage d’idées-aff ects que je m’eff orce de transmettre à mon tour par ma littérature. » </em>Le don du passeur est un livre singulier, inhabituel, très élaboré sous une apparente simplicité. Ni portrait ni récit, il est le magnifique portrait d’un père disparu<em></em>.<br />
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<p><strong><em>UNE MATIÈRE INFLAMMABLE</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Marc%20Weitzmann">Marc Weitzmann</a></strong>.<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Une_matiere_inflammable_s.jpg" alt="WEITZMANN PREMIERE_9782234060272.QXD" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="WEITZMANN PREMIERE_9782234060272.QXD, août 2013" /><br />
« S’il y a une légitimité littéraire à écrire sur les personnages réels qui hantent nos écrans aujourd’hui, c’est parce qu’ils sont aussi la matière dont sont faites nos vies.
<em>Dans ce roman, des échos à l’actualité récente “ réelle ” affectent, pour leur, malheur, les idées et les comportements de certains personnages. Ce sont eux, et non</em>
l<em>es affaires en question, que j’ai tenté de suivre. » Arrivisme et intégrité, relations de couple et domination, mensonge et quête de soi sont quelques-uns des</em> <em>thèmes de ce roman épais, foisonnant, très ancré dans la France d’aujourd’hui</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Il_Babbo_s.jpg" alt="9782234074163_9782234074163" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="9782234074163_9782234074163, juin 2013" /><strong><em>IL BABBO</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Ivan%20Macaux">Ivan Macaux</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br />
<em>Une semaine sur les routes de France, entre le Var et Paris, dans le sillage d’une vieille bagnole en bout de course. Il Babbo conduit. Sur le siège passager, son fi ls. Ils sont seuls, ils s’observent, se toisent, et se cherchent sans jamais vraiment réussir à se trouver. Avec vitesse et fantaisie, les souvenirs défi lent, et évoquent au</em> <em>passage toute la complexité d’une relation entre un père et son fi ls. Ivan Macaux livre ici un magnifique premier roman, aux odeurs de grand départ</em>.<br />
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<p><strong><em>LA SERVANTE DU SEIGNEUR</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Jean-Louis%20Fournier">Jean-Louis Fournier</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.LaServanteDuSeigneur_s.jpg" alt="9782234075368_9782234051768.QXD" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="9782234075368_9782234051768.QXD, juin 2013" />
<em>Un livre sur sa fi lle. Sa fi lle Marie, petite soeur de Mathieu et Th omas, ces deux frères « pas comme les autres » et partis au ciel (Où on va, papa ?). Marie, le « chef d’oeuvre », l’adorée de son père. Elle grandit, mais change petit à petit, et devient une dame grise, sérieuse. Trop sérieuse. Elle prie et entre avec son compagnon en religion</em>.<br />
<em>Jean-Louis Fournier lève ici le mystère sur sa fi lle. Fille qu’il a « </em>égarée<em> » et souhaiterait retrouver. Comme toujours avec lui, on sourit, on rit, on pleure</em>. « Reviens Marie, avant que je m’en aille. »<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.LesFaiblesEtLesForts_s.jpg" alt="9782234071575_9782234071575" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="9782234071575_9782234071575, juin 2013" /><strong><em>LES FAIBLES ET LES FORTS</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Judith%20Perrignon">Judith Perrignon</a></strong><br />
<em>Louisiane, Red River. Une chaleur étouff ante. Gorges nouées, des enfants et leurs proches sont partis piqueniquer. Marcus, l’aîné, vient de se faire fouiller par les</em> <em>policiers. Arrivés au bord de la rivière, les plus grands se jettent joyeusement à l’eau. Ils n’en ressortiront pas. Pourquoi les Noirs ne savent-ils pas nager ?</em> <em>s’interrogeait-on le lendemain à la radio. S’inspirant d’un drame réel, Judith Perrignon retranscrit l’atmosphère d’une Amérique aussi mythique que fébrile.</em><br />
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<p><strong><em>AVOIR UN CORPS</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Brigitte%20Giraud">Brigitte Giraud</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.AvoirUnCorps_s.jpg" alt="9782234074804_9782234060272.QXD" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="9782234074804_9782234060272.QXD, juin 2013" />
<em>Avoir un corps met en scène la trajectoire d’une enfant qui devient fi lle, puis femme, racontée du point de vue du corps, dans toutes ses</em> <em>modulations. La narratrice nous invite à une traversée de l’existence, véritable aventure au quotidien où il est question de postures, de pudeur, de silhouette, de séduction, de sexualité, de</em> <em>travail, de maternité, d’ivresse, de deuil et de métamorphoses. Un roman sensible et intime, souvent drôle, qui rappelle que la tête et le corps entretiennent un dialogue des plus serrés, des plus énigmatiques</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Palladium_s.jpg" alt="9782234075320 CV_9782234060272.QXD" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="9782234075320 CV_9782234060272.QXD, juin 2013" /><em><strong>PALLADIUM</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Boris%20Razon">Boris Razon</a></strong><br />
<em></em>Palladium<em> est un roman vrai, c’est mon histoire. L’histoire d’un homme qui, en quelques jours et sans raison apparente, se retrouve paralysé des pieds à la tête</em>. <em>Commence alors un voyage dans les contrées les plus reculées de la vie humaine, dans un monde fou et terrifiant : le mien</em>.
<em></em>Palladium<em> est le récit de cette traversée, plongeant aux racines mêmes de la douleur et de la littérature</em>. »<br />
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<p><em><strong>LA VIE À CÔTÉ</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Mariapia%20Veladiano">Mariapia Veladiano</a></strong> (Italie, premier roman, <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/prix%20Calvino">prix Calvino</a> en 2010.)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.LaVieACote_s.jpg" alt="9782234071780.indd" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="9782234071780.indd, juin 2013" />
<em>Rebecca est laide. Extrêmement laide. Elle vit, avec prudence et en silence, aux côtés d’un père, médecin et trop absent, et d’une mère qui « a pris le deuil à sa naissance ». Rebecca se tient elle aussi hors du monde, élevée par la sainte et tragique servante Maddalena. C’est sans compter sur l’impétueuse tante Erminia, qui décide de l’initier au piano</em>. <br />
<em>Rebecca va dès lors concentrer sa vie entière dans ses mains… Une autre vie est possible, un autre langage, une vie à côté. Un premier roman bouleversant de subtilité et de pudeur</em><em></em>.<br />
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<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Julliardurn:md5:6f9c0cb075ebbd9b7e25b2f4c5e4b27e2014-06-17T22:14:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Lionel DUROYPhilippe JAENADAYasmina KHADRA
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Julliard_Logo_t.jpg" alt="Julliard_Logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Julliard_Logo.jpg, juin 2013" /><br />
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<strong>LITTERATURE FRANCAISE</strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Vertiges_s.jpg" alt="Vertiges.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Vertiges.jpg, juin 2013" />
<strong>22 août 2013</strong><br />
<em><strong>Vertiges</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Lionel%20DUROY">Lionel DUROY</a></strong><br />
<em>Comme il l’avait si bien réussi dans Le Chagrin, Lionel Duroy nous entraîne de nouveau dans les méandres des sentiments humains les plus secrets et s’interroge cette fois sur l’incapacité de son héros à réussir sa vie sentimentale. Qu’est-ce qu’aimer ? Telle est la question</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Sulak_2_s.jpg" alt="Sulak_2.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Sulak_2.jpg, juin 2013" /><em><strong>Sulak</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Philippe%20JAENADA">Philippe JAENADA</a></strong><br />
<em>Il était jeune, il était beau, il s’appelait Bruno Sulak, et fut, au début des années 80, l’homme le plus recherché de France. Gentleman braqueur, il défraya la chronique judiciaire et séduisit tous ceux qui l’approchèrent, jusqu’au célèbre policier qui mit fin à cinq années de cavale effrénée. De sa vie tourmentée, Philippe Jaenada a fait un roman biographique captivant</em>.<br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Les_anges_meurent_de_nos_blessures_s.jpg" alt="Les_anges_meurent_de_nos_blessures.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Les_anges_meurent_de_nos_blessures.jpg, juin 2013" />
<strong>22 Août 2013</strong><br />
<em><strong>Les anges meurent de nos blessures</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Yasmina%20KHADRA">Yasmina KHADRA</a></strong><br />
<em>Il avait pour lui une candeur déconcertante et un direct du gauche foudroyant. Il connut la misère et la gloire, mais seul l’amour des femmes parvint à combler sa soif d’absolu. De l’ascension à la chute, le destin hors du commun d’un jeune prodige adulé par les foules, poussé au crime par un malentendu</em>.<br /><strong>(Les résumés sont de l'éditeur).</strong></p> La rentrée littéraire Arléaurn:md5:4068de166cbb2c66a77e3645cf3aa3b82014-06-17T22:14:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Marie SizunNathalie Skowronek
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Arlea_logo_s.jpg" alt="Arlea_logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Arlea_logo.jpg, mai 2013" /><br />
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<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>29 août 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>Un jour par la forêt</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Marie%20Sizun">Marie Sizun</a></strong><br />
<em>Qu’est-ce qui pousse Sabine, petite élève de 5e, solitaire et rêveuse, à ne pas se rendre en classe,ce matin de printemps ? Pourquoi décide-t-elle ce jour-là de faire l’école buissonnière, et d’aller à la découverte d’un Paris qu’elle ne connaît pas très bien et qui l’a toujours fascinée</em> ?<br />
<em>Ce n’est pas seulement pour échapper au rendez-vous que la prof de français, excédée par son désintérêt, a fixé à sa mère. La fuite de Sabine parle de honte et d’incompréhension. Honte de sa mère, qu’elle sent ne pas correspondre à l’image qu’on se fait d’une mère attentive, soucieuse de la scolarité de son enfant ; mais aussi honte de son milieu social où la culture reste un mot opaque, presque hostile</em>.<br />
<em>La petite prend soudain conscience que ce monde du lycée lui est fermé, comme il l’a été aux siens. Mais, au cours de sa journée vagabonde, bien des choses vont changer pour elle. Le hasard d’une rencontre lui fera découvrir le trésor qu’elle porte en elle et qui ne demande qu’à être révélé</em>.<br /></p>
<p><strong>5 septembre 2013</strong><br />
<em><strong>Max en apparence</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Nathalie%20Skowronek">Nathalie Skowronek</a></strong><br />
<em>Tout avait donc commencé par ce numéro tatoué dont j’avais oublié la combinaison. Pour le retrouver, ou parce que trop désabusée, je m’étais enfoncée dans le royaume des morts. J’avais fait corps avec Max, je l’avais suivi au plus près, j’avais essayé de retracer sa trajectoire. Moins pour lui que pour moi, à dire vrai. Pour que je puisse m’en sortir. Remonter à la surface. Mettre un peu d’ordre. Donner un sens. Parce que je savais aussi que Max en avait payé le prix, mais qu’il s’en était donné à coeur joie</em>.<br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire du Mercure de Franceurn:md5:616b2eb7655a9cb9f596531f9aac46df2013-12-03T22:02:00+01:00lalettreRentrée littéraire 2013Agnès VannouvongEmmanuelle GuattariLouis-Philippe Dalembertpremier roman
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/Mercure_de_France_Logo.jpg" alt="Mercure_de_France_Logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Mercure_de_France_Logo.jpg, mai 2013" /><br />
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<p><strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>Le 22 août 2013</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Apres_l__amour_s.jpg" alt="Apres_l__amour.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Apres_l__amour.jpg, mai 2013" />
<em><strong>Après l’amour</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Agn%C3%A8s%20Vannouvong">Agnès Vannouvong</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br />
<em>Lorsque la narratrice, intellectuelle parisienne, se sépare de sa compagne Paola avec qui elle vivait depuis dix ans, sa vie bascule. Accepter la fin de cette histoire est une épreuve</em>.<br />
<em>Mais la résignation ne fait pas partie de son caractère : pour oublier Paola et se sentir vivante, il lui faut collectionner les maîtresses, à la recherche effrénée du plaisir et de la jouissance. Pour combler l'absence, de Paris à New York en passant par Rome, Berlin et le Portugal, la narratrice part en quête de nouvelles étreintes, de nouvelles caresses, de nouveaux corps. Mais toujours « après l’amour » la sensation du manque réapparaît. Dans une ronde de la séduction éternellement recommencée, toutes ces Edwige, Garance, Sandy, Eva, Delphine et autres rencontres furtives d’un soir semblent interchangeables. Peut-être la rencontre avec Héloïse amorcera-t-elle un tournant</em>.<br />
<em>Mêlant brillamment romantisme et crudité, douceur et violence, Après l’amour est un roman sensuel et sexuel qui explore la fulgurance du désir féminin et le mystère de la jouissance</em>.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Ciels_de_Loire_s.jpg" alt="Ciels_de_Loire.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Ciels_de_Loire.jpg, mai 2013" /><em><strong>Ciels de Loire</strong></em> <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Emmanuelle%20Guattari">Emmanuelle Guattari</a></strong><br />
<em>Emmanuelle Guattari a grandi sous les ciels de Loire, dans la clinique de La Borde où travaillait son père. Elle continue l’exploration de sa mémoire d’enfant, puis d’adolescente, exhumant des souvenirs tantôt drôles, tantôt poignants restitués avec une candeur et une émotion intactes. Elle dessine ainsi une géographie intime où les éléments familiaux et biographiques (cousins, oncles, grand-mère, parents…) se mêlent harmonieusement aux paysages et aux lieux. Des lieux et des paysages qui, comme les humains, vivent et se transforment au fil du temps</em>…<br />
Emmanuelle Guattari est l’auteur de <strong>La petite Borde</strong>. <strong>Les ciels de Loire</strong> est son deuxième roman.<br />
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<p><strong>Le 29 août 2013</strong><br />
<em><strong>Ballade d’un amour inachevé</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Louis-Philippe%20Dalembert">Louis-Philippe Dalembert</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Ballade_d__un_amour_inacheve_s.jpg" alt="Ballade_d__un_amour_inacheve.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Ballade_d__un_amour_inacheve.jpg, mai 2013" />
<em>Avril 2009 : la terre tremble dans les Abruzzes. Les habitants ont l’habitude, ils vivent avec les secousses depuis toujours. Au milieu des villageois italiens se trouve Azaka. Il n’est pas d’ici, il est arrivé dans les Abruzzes quelque 15 ans plus tôt… Azaka a dû travailler dur pour se faire accepter par la population locale : dans la région, les immigrés ne sont pas les bienvenus, les esprits sont parfois étroits, et certains partis politiques stigmatisent les étrangers et attisent les haines xénophobes</em>.<br />
<em>Comble de l’intégration, Azaka a même épousé une jeune femme du village, Mariagrazia, aujourd’hui sur le point d’accoucher. C’est dire le parcours accompli par le jeune homme et le respect qu’il inspire ! Aujourd’hui les secousses lui rappellent un épisode tragique et traumatisant de son enfance : un autre tremblement de terre, à l’autre bout du monde, pendant lequel il fut enseveli sous les décombres et où son frère a péri</em>.<br />
<em>L’histoire se répèterait-elle ? Où qu’il soit, Azaka doit-il redouter la colère de la terre ? Autant de questions qu’Azaka refuse pour l’instant de se poser : dans quelques semaines il sera en effet un jeune père comblé, le bonheur ne lui échappera pas</em>…<br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>Le 12 septembre 2013</strong><br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.symphonie_de_leningrad_s.jpg" alt="symphonie_de_leningrad.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="symphonie_de_leningrad.jpg, mai 2013" /><em>La symphonie de Leningrad</em> de Sarah Quigley (Nouvelle-Zélande)<br />
<em>En juin 1941, à la brutale rupture du pacte germano-soviétique, Leningrad se retrouve encerclé. Le siège de la ville, qui va durer neuf cents jours, sera un des épisodes les plus cruels de la Seconde Guerre mondiale</em>.<br />
<em>À Leningrad vivaient de nombreux artistes et parmi eux, le déjà très célèbre compositeur Chostakovitch, qui travaille alors à sa Septième symphonie. Peu à peu, une terrible pénurie s’installe : pas de ravitaillement en vivres, en médicaments, en charbon ou en essence. La famine se fait sentir. Les bombardements se multiplient. Et le premier, puis le deuxième hiver vont être très froids. La mort est partout</em>.<br />
<em>On sait que Staline surveillait étroitement les artistes. Cette symphonie en gestation, il la veut car une idée lui est venue. On va voir laquelle. Pas question de faire courir trop de risques à Chostakovitch. Avec sa famille, on l’exfiltre, de même que les musiciens du meilleur des deux orchestres de la ville. Mais dès que la partition est terminée – dans laquelle le compositeur a magnifiquement intégré le bruit des canons, des bombes, des sirènes d’alarme – on la réintroduit clandestinement à Leningrad avec ordre de la faire exécuter par l’orchestre qui reste, celui de la radio, moins prestigieux, et dont les musiciens crèvent à la lettre de maladie et de faim</em>.<br />
<em>L’idée de Staline est qu’elle soit jouée avec des haut-parleurs tournés vers les lignes allemandes. L’ennemi pensera alors</em> : « s’ils sont encore capables de faire de la musique, c’est qu’ils ne sont pas près de se rendre. » <em>On sait que le subterfuge a fonctionné. Le siège de la ville a été levé</em>.<br />
<em>Sarah Quigley, jeune romancière néo-zélandaise, s’est emparée avec brio de cette extraordinaire histoire. Pratiquement tous ses personnages ont réellement existé, en particulier Karl Eliasberg, le fragile chef d’orchestre qui doit faire travailler ses musiciens dans des conditions épouvantables. Mais malgré tant de souffrances, il y a à travers tout le livre de merveilleuses touches d’humour, des instants de grâce absolue. Et personne ne pourra oublier Sonya, la petite fille qui joue du violoncelle comme personne</em>.<br />
<strong>Un livre traduit dans plus de dix pays, un best-seller pendant sept mois en Nouvelle- Zélande. L’auteur, poète et critique d’art, a 35 ans et vit actuellement à Berlin</strong>.<br />
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(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Belfondurn:md5:810051f72fdf5f54f46a58e2ca39e2ef2013-11-29T23:12:00+01:00lalettreRentrée littéraire 2013Annalena McAFEEBelfondColum McCannDouglas KennedyGoce SMILEVSKIJordi SOLERpremier romanRuth OZEKI
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Belfond_logo_2010_s.jpg" alt="Belfond_logo_2010.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Belfond_logo_2010.jpg, mai 2013" />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Transatlantic_s.jpg" alt="Transatlantic.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Transatlantic.jpg, mai 2013" />
<strong>22 AOÛT 2013</strong><br />
<em><strong>Transatlantic</strong></em> de <strong>Colum McCann</strong> (Irlande)<br />
<em>Porté par le style éblouissant de l’auteur de Et que le vaste monde poursuive sa course folle – National Book Award et meilleur livre de l’année 2010 du palmarès Lire –, de l’Amérique à l’Irlande, du XIXe siècle à nos jours, un roman vertigineux sur le déracinement, la perte et le dépassement de soi</em>.<br /><br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.En_meme_temps__toute_la_terre_et_tout_le_ciel_s.jpg" alt="En_meme_temps__toute_la_terre_et_tout_le_ciel.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="En_meme_temps__toute_la_terre_et_tout_le_ciel.jpg, mai 2013" /><em><strong>En même temps, toute la terre et tout le ciel</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Ruth%20OZEKI">Ruth OZEKI</a></strong>(Canada)<br />
<em>Le deuxième roman de Ruth Ozeki à paraître en français. De la fureur de Tokyo à la sérénité d’un temple bouddhiste, en passant par le fantôme d’un kamikaze et un nouvel éclairage de l‘oeuvre de Proust, un récit autofictionnel ample et original</em>.<br /><br />
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<p><strong>5 SEPTEMBRE 2013</strong><br />
<em>Dis-leur qu’ils ne sont que cadavres</em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Jordi%20SOLER">Jordi SOLER</a></strong>(Mexique)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Dis-leur_qu__ils_ne_sont_que_cadavres_s.jpg" alt="Dis-leur_qu__ils_ne_sont_que_cadavres.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Dis-leur_qu__ils_ne_sont_que_cadavres.jpg, mai 2013" />
Par l’auteur de La Fête de l’ours, la folle épopée littéraire et éthylique d’un écrivain mexicain frustré, d’un poète irlandais alcoolique et d’un couple de millionnairesdifformes sur les traces d’Antonin Artaud. Une gourmandise romanesque azimutée, foisonnante et poétique.<br />
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<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_doux_parfum_du_scandale_s.jpg" alt="Le_doux_parfum_du_scandale.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Le_doux_parfum_du_scandale.jpg, mai 2013" /><em><strong>Le Doux Parfum du scandale</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Annalena%20McAFEE">Annalena McAFEE</a></strong>(Angleterre) (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><em>Le premier roman d’Annalena McAfee : deux femmes, deux générations, deux visions du journalisme. Une peinture corrosive du milieu de la presse londonienne portée par un style et une construction remarquables</em>.<br />
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<p><strong>19 SEPTEMBRE 2013</strong><br />
<em><strong>La Liste de Freud</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Goce%20SMILEVSKI">Goce SMILEVSKI</a></strong> (Macédoine)<br />
<em>Lauréat du prix européen pour la Littérature et du prix pour la Culture méditerranéenne, Goce Smilevski donne à voir un Freud inattendu. Un premier roman <img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_liste_de_Freud_s.jpg" alt="La_liste_de_Freud.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="La_liste_de_Freud.jpg, mai 2013" />encensé par la critique internationale, n’hésitant pas à comparer son auteur à Günter Grass et José Saramago</em>.<br /></p>
<p>En octobre, ''<strong>Cinq jours</strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Douglas%20KENNEDY">Douglas KENNEDY</a> </strong>(États-Unis)<br /></p>
<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Grasseturn:md5:93698573d06554336dac4d830dbf89672013-11-20T00:10:00+01:00lalettreRentrée littéraire 2013Alain VEINSTEINaucun titre retenu dès la première sélectionClaude ARNAUDCocteauDany LaferrièreDelphine CoulinGrassetJulien DELMAIREKarine TUILLaure ADLERLeonora MIANOMartin MOSEBACHMetin ARDITIOlivier POIVRE D’ARVORPatrick McGUINNESSpremier romanprix GoncourtProustSorj CHALANDONYann Moix
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Grasset_logo_s.jpg" alt="Grasset_logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Grasset_logo.jpg, mai 2013" />
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<p><strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br /></p>
<p><strong>21 août 2013</strong><br />
<em><strong>La confrérie des moines volants</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Metin%20ARDITI">Metin ARDITI</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_ponfrerie_des_moines_volant_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, juin 2013" />
<em>1937. Le régime soviétique pille, vend et détruit les trésors de l’Eglise russe. Il ferme plus de mille monastères. Des centaines de milliers de prêtres et de moines sont exécutés. Les plus chanceux s’échappent, vivant cachés dans les forêts. Voici l’histoire de Nikodime Kirilenko, ermite au monastère de Saint-Eustache, qui, avec l’aide d’une poignée de moines vagabonds, tente de sauver les plus beaux trésors de l’art sacré orthodoxe. Où l’on rencontrera un ancien trapéziste, un novice de vingt ans et quelques autres fous de Dieu</em>.<br />
<em>De 1937 à nos jours, de la Russie bolchévique à la Moscou des milliardaires et des galeries d’art, l’étourdissante histoire de quelques moines sans moyens mais courageux face à la violence de l’Histoire. Le péché, le pardon et l’Art comme ultime rédemption parcourent ce roman ample et bouleversant. Et puis, il y a Irina. Elle fuit, traverse l'Europe, arrive à Paris, change d'identité... Elle est au coeur de cette étonnante histoire de résistance et de rédemption</em>.<br /></p>
<p><em><strong>Le quatrième mur</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Sorj%20CHALANDON">Sorj CHALANDON</a><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_quatrieme_mur_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Mise en page 1, juin 2013" /><em>L’idée de Sam était folle. Georges l’a suivie</em>.<br />
<em>Réfugié grec, metteur en scène, juif en secret, Sam rêvait de monter l’Antigone d’Anouilh sur un champ de bataille au Liban</em>.<br />
<em>1976. Dans ce pays, des hommes en massacraient d’autres. Georges a décidé que le pays du cèdre serait son théâtre. Il a fait le voyage. Contacté les milices, les combattants, tous ceux qui s’affrontaient. Son idée ? Jouer Anouilh sur la ligne de front. Créon serait chrétien. Antigone serait palestinienne. Hémon serait Druze. Les Chiites seraient là aussi, et les Chaldéens et les Arméniens. Il ne demandait à tous qu’une heure de répit, une seule. Ce ne serait pas la paix, juste un instant de grâce. Un accroc dans la guerre. Un éclat de poésie et de fusils baissés. Tous ont accepté. C’était impensable. Et puis Sam est tombé malade. Sur son lit d’agonie, il a fait jurer à Georges de prendre sa suite, d’aller à Beyrouth, de rassembler les acteurs un à un, de les arracher au front et de jouer cette unique représentation</em>.
Georges a juré à Sam, son ami, son frère. Il avait fait du théâtre de rue, il allait faire du théâtre de ruines. C’était bouleversant, exaltant, immense, mortel, la guerre. La guerre lui a sauté à la gorge.<br />
L<em>’idée de Sam était folle. Et Georges l’a suivie</em>.<br />
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<p><em><strong>Le jour où j’ai rencontré ma fille</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Olivier%20POIVRE%20D%E2%80%99ARVOR">Olivier POIVRE D’ARVOR</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_jour_ou_j__ai_rencontre_ma_fille_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, juin 2013" />
<em>Tout commence par l’âge qui vient : le narrateur, séducteur parfois fragile, apprend qu’il est stérile. Au moment où il atteint la cinquantaine, il découvre qu’il ne désire rien de plus qu’être père</em>.<br />
<em>Mais si le corps refuse ? Tout recommence à Lomé, quelques mois plus tard, lorsqu’il rencontre une petite fille de sept ans, Amaal, et qu’il décide de l’adopter. Mais là encore, comment fait-on quand on est un homme célibataire ? Arrivera-t-il à être père</em> ?<br />
<em>Des laboratoires parisiens où il enchaine les spermogrammes pour découvrir son azoospermie aux rues de Lomé où l’espoir renaît dans les yeux de cette enfant, des labyrinthes de l’administration française et togolaise au vol Lomé-Paris qui ramènera enfin sa fille chez eux, Olivier Poivre d’Arvor nous raconte le chemin initiatique de deux ans qui a changé sa vie. Avec une sincérité bouleversante, il dit tout : les examens médicaux, les enquêtes menées pour chercher, vainement, un enfant né de lui qu’il ne connaîtrait pas, le désarroi puis la joie pleine et retrouvée sur les terres togolaises, et de nouveau, là-bas, l’enfer des procédures, les investigations sociales, psychiatriques, consulaires. Mais ce qu’il dit surtout c’est son amour de l’Afrique, sa patrie d’adoption, et celui sans limite qui le lie à sa fille, celle qui lui a donné la force nécessaire pour affronter les lois, abolir les frontières, et déjouer le sort</em>.<br /></p>
<p><em><strong>L’invention de nos vies</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Karine%20TUIL">Karine TUIL</a></strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.L__invention_de_nos_vies_s.jpg" alt="L__invention_de_nos_vies.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="L__invention_de_nos_vies.jpg, juin 2013" /><em>Qu’est-ce qui fait courir Sam Tahar ? L’argent, le luxe, un beau mariage avec la fille d’un homme puissant, les succès féminins, la reconnaissance du barreau new-yorkais où cet avocat redouté exerce, le plaisir de courir les plateaux de télévision, il a tout… alors que veut-il de plus ? Oublier peut-être que sa réussite repose sur une imposture. Car pour trouver sa place sociale, il a pillé la vie de son ex-meilleur ami, Samuel Baron, écrivain raté, fils d’intellectuels juifs, et qui sombre lentement dans une banlieue sous tension, n’ayant pour seul lot de consolation que Nina, « au corps hypersexué », mannequin pour de grandes enseignes populaires</em>.<br />
<em>Ce trio était ami, il y a vingt ans. Ils se retrouvent et tout explose. Leurs vies, vraies et fausses, au terme d’un suspense qui tient tout le livre. Nina prostitue sa beauté en croyant aimer à nouveau. Mais l’avocat est rattrapé par son passé. Il tombe le masque de sa propre création : Sam se nomme en réalité Samir, fils d’immigrés, enfant des cités. Samuel le looser inverse la donne</em>.<br />
"Avec le mensonge, on peut aller très loin mais on ne peut pas en revenir », <em>énonce un proverbe yiddish qui sous-tend ce roman d’un souffle et d’une construction hors du commun, et dont on ne doit pas vous en dire plus, car un secret en cache un autre, une usurpation une autre, un dénouement un autre</em>.<br /><br /></p>
<p><strong>2 septembre 2013</strong><br />
<em><strong>Immortelles</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Laure%20ADLER">Laure ADLER</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Immortelle_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, juin 2013" />
<em>Florence, Suzanne, Judith. Elles forment une sarabande dans ma tête. Leur amitié m’a construite et m’a rendu différente. Avec elles, j’ai ressenti ce à quoi nous ne pensions jamais, ce que vivre signifiait.Une nuit d’été, la narratrice se réveille, submergée par une vague de souvenirs qu’elle croyait enfoui dans l’oubli. Sous ses yeux défilent alors les vies des trois amies avec qui elle a grandi, trois femmes aux destins poignants, trois parties d’elle aussi, qu’elle rassemble soudain. Il y a Florence, «la collectionneuse » d’hommes, rencontrée à Avignon parmi la foule venue applaudir Vilar et Béjart. Suzanne, l’affranchie avec qui elle part à Barcelone goûter aux plaisirs d’une existence risquée. Il y a Judith, enfin, l’enfant de Buenos Aires, dont le passé remonte jusqu’au ghetto de Varsovie et que le destin a ramenée à Paris. Un hymne à l’amitié féminine</em>.<br /></p>
<p><em><strong>Voir du pays</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Delphine%20COULIN">Delphine COULIN</a></strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Voir_du_pays_s.jpg" alt="couv paradisiaques2005" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="couv paradisiaques2005, juin 2013" /><em>Deux filles, Aurore et Marine, reviennent d’Afghanistan. Elles y ont vécu six mois de tension, d’horreur, de peur. Elles vont passer trois jours à Chypre, dans un hôtel cinq étoiles, pour ce que l’armée appelle un «sas de décompression », où on va leur réapprendre à vivre normalement, à oublier la guerre, à coup de séances de débriefing collectif et de cours d’aquagym, de soirées arrosées et de visites de sites archéologiques de la vieille Europe</em>.<br />
<em>Au milieu des touristes en vacances, elles réalisent à quel point la guerre les a brisées. Aurore et Marine sont devenues adultes. Leur jeunesse et leur amitié ont disparu, quelque part entre Kaboul et Chypre. Voir du Pays est un roman sur la fin des illusions – celle de ces filles, celle de ceux qui ont cru en une «guerre juste », mais aussi ceux qui ont rêvé d’une Europe puissante et prospère, à l’heure où Chypre est l’exemple même de sa ruine. Dans un décor de filles en maillots et de fêtes sur la plage, Aurore et Marine vont s’apercevoir qu’elles n’ont peut-être plus rien à perdre, et aller jusqu’au bout de la violence</em>...<br /></p>
<p><em><strong>Georgia</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Julien%20DELMAIRE">Julien DELMAIRE</a></strong> (<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Georgia_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, juin 2013" />
Georgia <em>est un roman d’amour contemporain</em>.<br />
''Venance, un jeune Sénégalais, se retrouve travailleur sanspapiers dans une France en crise où il n’a pas sa place. Il rencontre, l’espace de quelques nuits, Georgia,
une jeune femme toxicomane à la beauté ambigüe. Les deux marginaux se frôlent, se racontent, dans une parenthèse en clair-obscur où Georgia va livrer ses secrets, exhumer les trésors dérisoires de son enfance. Georgia parle et, de sa voix jaillissent des paysages : le bocage de sa Normandie natale, le Sud
profond, le bayou, les champs de coton infinis. Plus qu’une héroïne, Georgia est une chanson qui passe de bouche en bouche, une paumée sûrement, une sainte peut-être''.<br />
<em>Aux côtés des deux protagonistes, une foule de personnages dressent le portrait d’une société où la détresse sociale n’a pas encore tué l’entraide. Veillé par la musique crépusculaire de Joy Division, ce roman est un requiem rock, un oratorio poétique pour tous les corps qui luttent, résistent et finissent par tomber dans l’indifférence d’une époque trop étroite</em>.<br /></p>
<p><strong><em>La saison de l’ombre</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Leonora%20MIANO">Leonora MIANO</a></strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_saison_de_l__ombre_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Mise en page 1, juin 2013" />«Le jour s’apprête à chasser la nuit, sur les terres du clan mulungo, les femmes dorment. Même les yeux fermés les femmes savent qu’il faut se garder des voix sans visage. Le Mal existe. Il sait se faire passer pour autre qu’il n’est. Cependant que faire sans certitude ? Un grand malheur vient de s’abattre sur le village».<br />
<em>Il n’y a pas d’époque, ni de lieu précis, nous sommes en Afrique sub-saharienne, quelque part à l’intérieur des terres, les fils aînés ont disparu, et les femmes en pleurs sont regroupées à l’écart de leur clan. Quelle est cette catastrophe fondatrice ? Où sont les garçons ? Quelle est la responsabilité des mères ? Faut-il se mettre à la recherche des disparus et comment ? Doit-on accepter l’absence de sépulture ? Les hommes du clan Mulongo ne savent pas combattre, ils respectent la vie</em>.<br />
<em>Le roman de Léonora Miano traite d’un sujet sensible, la traite négrière, et la complicité d’Africains ligués, par appât du gain, contre leurs semblables ou les peuples voisins. Un roman historique sur la traite transatlantique ? Non, un roman-conte où l’histoire de l’Afrique sub-saharienne se drape dans une prose magnifique et mystérieuse, que marquent la religion, le mysticisme, la croyance, et « l’obligation d’inventer pour survivre », raconter des histoires, raconter jusqu’à ce que la nuit arrache le dernier conteur à son rêve</em>.<br /></p>
<p><em><strong>Naissance</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Yann%20MOIX">Yann MOIX</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Naissance_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, juin 2013" />
<em>Ce roman est si particulier, si original, si multiple, qu’il sera préférable de le présenter pédagogiquement, et point par point… Ce roman s’intitule donc Naissance et il est gros, voire</em> « hénaurme ». <em>Il est gros, et non pas gras. Ce roman fait 1300 pages. L’auteur précise</em>: «ce livre est gros comme une femme enceinte de neuf mois».<br />
''Ce roman contient et prolonge tous les précédents livres de Yann Moix : Jubilations vers le ciel pour l’enfance ; Les cimetières sont des champs de fleur pour la folie ; Anissa Corto pour les sentiments ; Podium pour la province et la vie française des années 1970 ; Partouz pour la mystique et pour Charles Péguy ; Panthéon pour l’enfance maltraitée ; Mort et vie d’Edith Stein pour ses pages sur le judaïsme et le christianisme. Naissance est le roman de tous les romans de Yann Moix.<br />
Naissance sera… l’heureux événement de la rentrée'' !<br /><br /></p>
<p><strong>4 septembre 2013</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Journal_d__un_ecrivain_en_pyjama_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Mise en page 1, juin 2013" /><em><strong>Journal d’un écrivain en pyjama</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Dany%20LAFERRIERE">Dany LAFERRIERE</a></strong><br />
«Le pyjama est un étrange habit de travail », <em>nous dit Dany Laferrière qui, après trente années d’écriture, décide de parler à ses lecteurs. Suite de scènes où fiction, réflexion, récit, méditation s’entremêlent avec cette désinvolture qui caractérise son style. Journal d'un écrivain en pyjama met sous nos yeux l’itinéraire de cet écrivain pour qui la vie est une aventure exaltante qui se conjugue entre lire et écrire. Il évoque ses auteurs favoris, classiques ou contemporains, comme s’il s’agissait de vieux amis qu’il a l’habitude de retrouver au café du coin</em>.<br />
<em>De</em> « Comment débuter une histoire » <em>à</em> « La description d’un paysage » <em>en passant par</em> « La mémoire de l’enfance », <em>sans oublier</em> «Le fouet de Truman Capote »,<em> les conseils et l’humour de l’auteur de</em> L’Enigme du retour.<br />
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<p><em><strong>Proust contre Cocteau</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Claude%20ARNAUD">Claude ARNAUD</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Proust_contre_Cocteau_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, juin 2013" />
<em>Peu d’écrivains se sont autant aimés, enviés et jalousés que <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Proust">Proust</a> et <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Cocteau">Cocteau</a>. Tel un frère élevé une génération plus tôt, Proust montre une admiration sans borne pour ce cadet qui manifeste à 20 ans le brio, l’aisance et la facilité qui lui manquent encore, à près de 40 ans. Plus troublant, c’est Cocteau qui contribue à faire publier et à lancer le premier volume de la Recherche, que tous les éditeurs ont d’abord refusé. Ayant des doutes sur sa profondeur, Proust finit pourtant par le trahir au moment de sa gloire, aussi tardive qu’éclatante. Comment la situation s’est-elle retournée ? Pourquoi Proust, un siècle plus tard, pèse-t-il tant sur un paysage littéraire que Cocteau semble traverser en lièvre… Aurait-il contribué à lui nuire</em> ?<br />
<em>Des débuts flamboyants de Cocteau sous le regard admiratif de son aîné, à sa chute assourdie par le triomphe de la Recherche, Claude Arnaud revient sur les parcours mêlés de ces deux écrivains d’exception. On découvre l’amour impossible, maladif et jaloux, que Proust voua à ce jeune prodige que tous acclamaient, d’Anna de Noailles à la comtesse de Chevigné. Des salons parisiens à la chambre de liège du boulevard Haussmann, on revit l’amitié douloureuse qui les lia jusqu’à les séparer, lorsque Proust accéda à la gloire et devint le saint littéraire qu’on sait, mais aussi l’assassin amoureux que Claude Arnaud révèle</em>.<br />
<em>Dans cet essai remarquable, à la recherche d’une relation inexplorée, le biographe de Cocteau jette sur le «petit Marcel » un éclairage aussi nouveau que passionné</em>.<br /><br /></p>
<p><strong>11 septembre 2013</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.140_signes_s.jpg" alt="couv paradisiaques2005" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="couv paradisiaques2005, juin 2013" /><em><strong>Cent quarante signes</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Alain%20VEINSTEIN">Alain VEINSTEIN</a></strong><br />
<em>Le roman de ce livre tient au hasard. C'est-à-dire à un fil. Il s'en est fallu d'un rien qu'il ne voit jamais le jour. Depuis le début, je tweete à visage découvert, sans me cacher – ce qui n'est pas si fréquent – sous un pseudonyme. Sur le fil de Twitter, je suis celui que je crois être : un écrivain, auteur de romans et de poèmes, par ailleurs intervieweur d'écrivains à la radio depuis longtemps, habitant Malakoff, travaillant dans la journée à Paris, rue de Tournon, promeneur de chien à ses heures, homme de la rue, donc l'oeil et l'oreille aux aguets dans les paysages urbains, usager des transports en commun, voyageur à l'occasion, dormeur se laissant surprendre par ses rêves... Comme tout un chacun, enfin, je suis soumis à l'accélération vertigineuse du temps qui frappe de plein fouet ceux qui – c'est mon cas –arrivent à l'heure d'hiver</em>. »<br />
<em>Alain Veinstein écrit un roman par tweets, de la même manière qu'il existe des romans par lettres.</em> « Un roman écrit par un pirate qui a la particularité d'arraisonner à tout va pour s'emparer des cargaisons de mots et de phrases dont il veut juste déranger la torpeur. »<br /></p>
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>4 septembre 2013</strong><br />
<em><strong>Les cent derniers jours</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Patrick%20McGUINNESS">Patrick McGUINNESS</a> (Angleterre)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Les_cent_derniers_jours_s.jpg" alt="Mise en page 1" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Mise en page 1, juin 2013" />
<em>Un jeune professeur d'anglais est nommé en Roumanie en remplacement d'un certain Boulanger. Nous sommes trois mois avant la chute de Ceaucescu, mais cela, il ne le sait pas. Et il va être confronté à a très étrange ambioance d'un pays où couve une révolution silencieuse</em>...<br />
<em>Sous la tutelle de Leo, un professeur nonchalant, il découvre un pays qui détruit son passé (tous les bâtiments sont rasés pour laisser place à de grands immeubles sans âme et sans armature métallique), où tout est rationné – le métal mais aussi la farine, la viande, l'essence, les ampoules, l'électricité</em>, <em>donnant ainsi une nouvelle dimension au terme de courant « alternatif » – et où la colère est muselée. Les seules choses qui prospèrent sont l'ennui et Leo qui fournit de nombreux clients sur le marché noir</em>.
<em>La corruption est partout, tout le monde espionne tout le monde. Au milieu de ce roman qui, bien au-delà d'un portrait de la fin de Ceaucescu, est celui de la déliquescence des vieilles dictatures qui tombent comme des fruits pourris, va survenir une histoire d'amour qui va modifier le cours du destin</em>...<br />
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<p><strong>21 septembre 2013</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Un_hasard_necessaire_s.jpg" alt="Un_hasard_necessaire.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Un_hasard_necessaire.jpg, juin 2013" /><em><strong>Un hasard nécessaire</strong></em> de <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Martin%20MOSEBACH">Martin MOSEBACH</a> (Allemagne).<br />
<em>Un jeune employé de banque raconte à sa femme le coup de foudre qu’il a vécu, dans un train, face à une inconnue rencontrée jadis et qu’il pensait ne jamais revoir. Sa jeune épouse réagit bien sûr assez mal à cette révélation et interroge son mari, le sommant de lui raconter ce qui s'est passé avant qu'ils ne se rencontrent. Elle n’a pas fini de se poser des questions</em>…<br />
<em>Car la belle qui a tant inspiré le fiancé modèle dans le train n’est autre que la fille de l'illustre famille Hopsten, fleuron de la bonne société francfortoise,dans laquelle notre héros se rend pour une après-midi mondaine</em>. <br />
<em>Sous l’oeil impavide d’un cacatoès blanc (dont la curiosité lui vaudra de mal finir), ce petit cercle va peu à peu dévoiler ses fissures, ses faux-semblants, ses histoires d’amour douteuses, le tout alimenté par un confort financier qui semble garanti à tout jamais. Jusqu'au jour où Joseph Salam, un homme d’affaires au charme fou et aux activités obscures, va séduire la maîtresse de maison et provoquer la catastrophe finale</em>...<br />
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<p>(<strong>Les résumés sont de l'éditeur</strong>).</p> La rentrée littéraire Buchet Chastelurn:md5:b4129a290889beaeeff79b9005de0a322013-10-19T09:29:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2013Bruno TessarechCourtney CollinsMartin CaparrosMezz MezrowNicolas ClémentOlivier Bellamypremier romanSophie Van der Linden
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Buchet_Chastel_Logo_m.jpg" alt="Logo_BC" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Logo_BC, mai 2013" /><br />
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<p><strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>22 août 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>La Fabrique du monde</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Sophie%20Van%20Der%20Linden">Sophie Van Der Linden</a></strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_fabrique_du_monde_s.jpg" alt="La_fabrique_du_monde.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="La_fabrique_du_monde.jpg, mai 2013" />
<em>Et je me vois là, dans tout ça. Une petite chinoise de dix-sept ans, une paysanne, partie à l’usine parce que son grand frère entrait à l’université. Quantité des plus négligeables, petite abeille laborieuse prise au piège de sa ruche. Enfermée là pour une éternité. Aujourd’hui en Chine. Mei, jeune ouvrière de dix-sept ans vit, dort et travaille dans son usine. Elle rêve aussi. Confrontant un souffle romantique à l’âpre réalité, La Fabrique du monde est une plongée intime dans un esprit qui s’éveille à l’amour, à la vie et s’autorise, non sans dommage, une perception de son individualité</em>.<br /><br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Art_negre_s.jpg" alt="Art_negre.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Art_negre.jpg, mai 2013" /><em><strong>Art nègre</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Bruno%20Tessarech">Bruno Tessarech</a></strong><br />
<em>Louis est hésitant, velléitaire, perdu. Au point de ne plus parvenir à faire le ménage chez lui, à se traîner de pièce en pièce, à discuter des heures entières avec ses voisins ou à rester terré. Même sa compagne aimante, Olivia, a déserté le champ de ruines qu’est devenue son existence. C’est qu’il ne parvient plus à écrire</em>.<br />
<em>Un beau jour François, un vieux copain éditeur, l’appelle pour lui proposer de rédiger les mémoires d’un ancien taulard célèbre. Louis accepte</em>.<br />
<em>Débute alors une période frénétique qui lui fait alterner des travaux de commande en tout genre. Lui qui ne parvenait plus à entrer dans la vie des autres pour en faire des romans, voilà que ce sont les vies étrangères qui deviennent siennes ! Il s’agace des êtres mais jubile des expériences, découvre l’ennui des entretiens mais la joie renouvelée d’écrire. Peu à peu sa vie se reconstruit. Olivia revient vivre à ses côtés et, de ses propres errances, il parvient à tirer le roman qu’il portait en lui</em>.<br />
<em>Un écrivain en panne devient un nègre prolifique ! Un roman sur l’écriture, ses vérités et ses mensonges</em>.<br /><br />
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<p><em><strong>Sauf les fleurs</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Nicolas%20Cl%C3%A9ment">Nicolas Clément</a></strong>(<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/premier%20roman">premier roman</a>)<br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Sauf_les_fleurs_s.jpg" alt="CLEMENT - Sauf les fleurs.indd" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="CLEMENT - Sauf les fleurs.indd, mai 2013" />
<em>Marthe a douze ans, elle vit à la ferme avec ses parents et son petit frère Léonce. Son père est un homme mutique et violent, mais les bêtes sont là qui réconfortent ; l’amour de la mère et l’enfance de Léonce font tout le bonheur de vivre. Marthe a seize ans, elle rencontre Florent. Les jeux d’enfant ont fait place aux premières amours, à la découverte que les corps et les êtres peuvent aussi être doux. Un jour, Marthe enseignera aux autres la richesse des mots dont le père veut la priver, le bonheur de lire et d’inventer d’autres réalités. Marthe a dix-huit ans, et le drame se produit. Les fleurs sont piétinées, sa vie vole en éclats, mais la catastrophe laisse intact l’amour de son frère et celui des mots</em> : «Aujourd’hui, il me reste peu de mots et peu de souvenirs. J’écris notre histoire pour oublier que nous n’existons plus».<br /></p>
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<p><strong>29 août 2013</strong><br /></p>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Dans_la_gueule_s.jpg" alt="Dans_la_gueule.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Dans_la_gueule.jpg, mai 2013" /><em><strong>Dans la gueule</strong></em> du loup de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Olivier%20Bellamy">Olivier Bellamy</a></strong><br />
<em>En 1936, commence l’une des purges staliniennes les plus sanglantes de l’histoire bolchévique. C’est le moment que choisit Serge Prokofiev pour revenir en URSS et s’y installer avec sa famille. C’est le moment aussi où il écrit et compose Pierre et le Loup, son célèbre conte musical pour enfants. Le Mozart russe s’est jeté « dans la gueule du loup ». Il n’en sortira plus jamais jusqu’à sa mort</em>.<br />
<em>Dans ce roman drôle et cruel, l’auteur imagine les circonstances et les conséquences tragiques de cette décision. A travers le destin d’un homme, c’est l’histoire de la première moitié du xxe siècle que nous revivons. Le Paris brillant et cosmopolite, la guerre, l’implacable machine soviétique. C’est aussi le portrait saisissant d’un compositeur de génie qui traverse les flammes de l’enfer pour tutoyer le divin. Et celui d’une femme libre qui paiera cher le prix de son amour absolu. C’est enfin le chemin de croix que parcourt tout artiste entre le Bien et le Mal</em>.<br />
<em>Comment un artiste de génie (Prokofiev), par orgueil et démesure, se jette «dans la gueule du loup » (Staline). Un roman cruel et drôle signé par l’animateur de</em> « Passion classique».<br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Living_s.jpg" alt="Living.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Living.jpg, mai 2013" />
<strong>22 août 2013</strong><br />
<em><strong>Living</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Martin%20Caparros">Martin Caparros</a></strong> (Argentine)<br />
<em>Fresque délicieusement obscène, à l’élaboration complexe et aux multiples échos</em>, Living <em>questionne à travers le destin de l’étrange Nito les métamorphoses</em>
<em>de la société argentine depuis Perón et son rapport à la mort. Roman d’apprentissage, roman politique, saga burlesque dans la grande tradition des littératures latino-américaines, Living est un grand texte littéraire, porté par un style éblouissant</em>.<br />
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<p><strong>29 août 2013</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Sous_la_Terre_s.jpg" alt="Sous_la_Terre.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Sous_la_Terre.jpg, mai 2013" /><em><strong>Sous la Terre</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Courtney%20Collins">Courtney Collins</a></strong> (Australie)<br />
Sous la terre <em>retrace et romance en un récit incandescent la cavale de Jessie Hickman, une des seules femmes </em>bushrangers<em> - ces hors-la-loi australiens - de l'histoire du pays. Un roman haletant, cruel, campé dans une nature hostile et magnifique.</em><br />
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<p><strong>MUSIQUE</strong><br />
<strong>19 septembre 2013</strong><br /></p>
<p><em><strong>La Rage de vivre</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Mezz%20Mezrow">Mezz Mezrow</a></strong><br />
<em>Quatre cents pages du récit bouillonnant de la vie du musicien de jazz Mezz Mezzrow, dans l’Amérique d’entre-deux-guerres.</em><br /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_rage_de_vivre_s.jpg" alt="La_rage_de_vivre.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="La_rage_de_vivre.jpg, mai 2013" />
<em>Peu de livres sur le jazz ont suscité un tel enthousiasme. Si le jeu de Mezzrow peut diviser, le brûlant récit qu’il fait de sa vie a transporté des générations de lecteurs. Mezzrow raconte tout : son enfance et son adolescence à Chicago, sa découverte du blues en prison, puis ses premiers contacts avec les musiciens de jazz, particulièrement Bix Beiderbecke et ses Wolverines de l’Austin High School dans la banlieue ouest de Chicago. Il y a son travail acharné, avec la drogue, dont il est dépendant, et dont il devient le dealer pour les autres musiciens, et surtout ses rencontres avec les plus grands : Louis Armstrong, Sydney Bechet, Tommy Ladnier... À New York, il devient producteur de disques et enregistre avec Bechet. En 1938, c’est la rencontre avec celui qui sera son grand ami, Hugues Panassié, qui débouchera sur les mythiques disques Swing</em>. (réédition).<br />
«Je voudrais que des millions d’hommes lisent ce livre et reçoivent le message qu’il porte.»<br />
<strong>Henry Miller</strong>__<br /></p>
<p>(Les résumés sont de l'éditeur)__</p>