La lettre du Libraire - Mot-clé - Claire Castillon2024-03-29T11:45:51+01:00urn:md5:730380b67af77a3fbbc36330a33651feDotclearL'âge du fond des verresurn:md5:cd1b2e32847bcca3560049544b7347032022-04-07T14:18:00+02:00lalettreJeunesseClaire CastillonGallimard Jeunesse
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.L_age_du_fond_du_verre_m.jpg" alt="L'age du fond du verre.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="L'age du fond du verre.jpg, fév. 2021" /><strong>Guilène a 11ans, entre en 6e et sa meilleure amie s'appelle Cléa et son amoureux Aron. Claire Castillon décortique avec tendresse cette année charnière pendant laquelle les enfants passent du goûter aux soirées (même si c'est pour manger du fromages !).</strong></p>
<p>Premiers émois, fringues, parents forcément nuls, changement de vocabulaire, Guilène a aussi réussi que ses parents ne viennent plus la chercher devant la porte du collège mais au fond de la rue derrière le poteau vert !<br />
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C'est tendre et doux à la fois, Claire Castillon met un souffle de vie légère, une tendresse particulière pour accompagner ses collégiens. À lire aussi bien par les enfants de 10 à 12ans que par leurs parents !
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<p><em>L'âge du fond des verres</em><br />
Claire Castillon<br />
Gallimard Jeunesse<br />
176p. 12€<br />
Janvier 2021<br /></p> La rentrée littéraire de l'Olivierurn:md5:143c90ddc1458c02ea3c75818f432f672015-10-14T23:04:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2015Agnès DesartheChristian OsterClaire CastillonDavid Foster WallaceGérard LefortRENTRÉE LITTÉRAIRE 2015Richard FordSayed Kashua
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/L__Olivier_logo.jpg" alt="L__Olivier_logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="L__Olivier_logo.jpg, juin 2013" /><br />
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<p><strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>Le 20 AOÛT 2015</strong><br />
<strong><em>Ce coeur changeant</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Agn%C3%A8s%20Desarthe">Agnès Desarthe</a></strong><br />
336 p., 19,50 €<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.ce_coeur_changeant_s.jpg" alt="ce_coeur_changeant.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="ce_coeur_changeant.jpg, juil. 2015" />
<strong>RÉSUMÉ</strong> :<br />
<strong>Rose Mathissen est la fille d’un officier français et d’une aristocrate danoise. Née à l’aube du XXe siècle, il lui faudra un long détour pour retrouver le manoir familial et découvrir qui elle est vraiment. Seule à Paris, à 17 ans, Rose est projetée dans un monde qui est aussi bien celui de Zola que de Dickens avant de basculer dans la modernité: l’affaire Dreyfus, la guerre de 14, les années folles, les voitures Panhard-Levassort, la naissance du féminisme… la ville est en ébullition. Rose y trace son chemin, d’une fumerie d’opium à l’appartement de Montparnasse qu’elle partage avec Louise, dont elle est amoureuse. Passant des bas-fonds à la vie de bohême, elle risque à tout moment de tomber. Mais sa vitalité et son idéalisme la protègent. Il lui reste à déchiffrer ce destin dont le sens lui échappe, au point de lui donner parfois le vertige</strong>.<br /></p>
<p><strong>L'AUTEUR</strong> :<br />
<em>Agnès Desarthe est née en 1966. Elle a notamment publié </em>Un secret sans importance<em> (prix du Livre Inter 1996), </em>Dans la nuit brune<em> (prix Renaudot des lycéens 2010), des ouvrages pour la jeunesse et des essais comme </em>Comment j’ai appris à lire<em> (Stock, 2013), qui a connu un grand succès. En 2014, elle a publié un recueil de nouvelles, </em>Ce qui est arrivé aux Kempinski.<em> Elle est aussi traductrice des oeuvres de Aimee Bender, Cynthia Ozick ou Jay McInerney</em>.<br />
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<strong>Le 20 AOÛT 2015</strong><br />
<strong><em>Les amygdales</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/G%C3%A9rard%20Lefort">Gérard Lefort</a></strong><br /></p>
<pre>288 p., 18,50 €<br /></pre>
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.les_amygdales_s.jpg" alt="les_amygdales.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="les_amygdales.jpg, juil. 2015" />
<strong>RÉSUMÉ</strong> ;<br />
<strong>Dans l’immense demeure pleine d’enfants et de domestiques, la mère jette l’argent par les fenêtres et le père ferme les yeux. Elle est fantasque, il est insomniaque. La vie y est rocambolesque. Rien n’échappe au narrateur, le benjamin de leurs fils. Aussi doué pour observer que pour imaginer, il passe tout au crible de ses visions : scènes de la vie familiale, moments d’amitié, rêves cinématographiques, souvenirs d’une scolarité houleuse, d’aventures et tendances anarchistes. Les tableaux vivants qui en résultent nous plongent tour à tour dans l’intime et le sauvage, dans l’histoire et les désordres de l’humanité</strong>.<br /></p>
<p><strong>L'AUTEUR</strong> :<br />
<em>Après des études de philosophie, Gérard Lefort a été pendant plus de trente ans une des « plumes » du quotidien Libération qu’il rejoint au début des années 80 et où il exerce plusieurs fonctions, entre autres celle de chef du service Cinéma puis celle de rédacteur en chef, chargé de la Culture. Il a toujours considéré que le journalisme était en priorité une activité d’écrivain, une manière d’écrire son journal dans un journal</em>.<br />
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<strong>Le 20 AOÛT 2015</strong><br />
<strong><em>Le coeur du problème</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Christian%20Oster">Christian Oster</a></strong><br />
192 p., 17,00 €<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.le_coeur_du_probleme_s.jpg" alt="le_coeur_du_probleme.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="le_coeur_du_probleme.jpg, juil. 2015" />
<strong>RÉSUMÉ</strong> :<br />
<strong>En rentrant chez lui, Simon découvre un homme mort au milieu du salon. Diane, sa femme, qui,selon toute vraisemblance, a poussé l’homme par dessus la balustrade, lui annonce qu’elle s’en va. Elle ne donnera plus de nouvelles. Simon, resté seul avec le corps, va devoir prendre les décisions qui s’imposent</strong>.<br />
<strong>C’est lors de sa visite à la gendarmerie que Simon rencontre Henri, un gendarme à la retraite amateur de tennis. Une relation amicale se noue. Mais Simon est sur la réserve ; chaque mot, chaque geste risque d’être sévèrement interprété. S’engage alors entre les deux hommes une surprenante partie d’échecs</strong>.<br />
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<strong>L'AUTEUR</strong> :<br />
<em>Christian Oster a publié seize romans, dont </em>Mon grand appartement<em> (prix Médicis 1999), </em>Une femme de ménage<em> (2001, porté à l’écran par Claude Berri), </em>Dans la cathédrale<em> (2010), parus aux Éditions de Minuit, </em>Rouler<em> (2011) et </em>En ville<em> (prix Landerneau 2013) parus aux Éditions de l’Olivier</em>.<br />
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<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>Le 3 SEPTEMBRE 2015</strong><br /></p>
<p><strong><em>Les pêchers</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Claire%20Castillon">Claire Castillon</a></strong><br />
208 p., 17,50 €<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.les_pechers_s.jpg" alt="les_pechers.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="les_pechers.jpg, juil. 2015" />
<strong>RÉSUMÉ</strong> :<br />
<strong>Tamara est prisonnière. De son mari, Claude, qui veut faire d’elle une épouse idéale. De son amour perdu, à qui elle ne peut s’empêcher de rêver. La liberté lui fait peur, la captivité lui pèse. Elle ne peut ni rester ni partir. Il lui faudra pourtant choisir entre cette conjugalité qui l’étouffe et le besoin éperdu de vivre sa vie. Aimée, elle, semble parfaitement adaptée au monde tel qu’il va. Mais son personnage de material girl cache une vraie fragilité. Ex-femme de Claude, elle juge les hommes avec tendresse et sévérité. Qu’attend-elle de l’amour ? Tout, sauf l’angoisse d’être trop (ou pas assez) aimée. Et puis il y a sa fille, Esther, dont elle s’occupe avec le mélange d’affection et d’égoïsme qui la caractérise.</strong><br />
__Esther… Une adolescente d’aujourd’hui. Espionne, poète, raisonneuse, innocente, amoureuse. Son regard implacable radiographie les adultes, si
touchants dans leur refus d’être lucides. Et si c’était elle, la véritable héroïne de cette histoire ? Elle en serait, sans le moindre doute, la parfaite victime expiatoire__.<br /></p>
<p><em>L'AUTEUR</em> :<br />
<em>Claire Castillon est l’auteur de nombreux romans et recueils de nouvelles, parmi lesquels : </em>Insecte<em>, </em>Les Cris<em> (Fayard), </em>Les Merveilles<em> (Grasset) et </em>Eux<em> (L’Olivier).</em><br />
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<strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>Le 20 AOÛT 2015</strong><br /></p>
<p><strong><em>L’infinie comédie</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/David%20Foster%20Wallace">David Foster Wallace</a></strong><br />
traduit de l’anglais (États-Unis) par Francis Kerline<br />
1488p., 27,50€<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.l_infinie_comedie_s.jpg" alt="l_infinie_comedie.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="l_infinie_comedie.jpg, juil. 2015" />
<strong>Le lieu : l’Amérique du Nord (les U.S.A., le Canada et le Mexique ont fusionné en une fédération.) L’époque : le futur proche. La Société du</strong> <strong>spectacle a gagné, et la population hébétée par la télévision, les loisirs et la consommation à outrance ne songe plus qu’à se distraire</strong>.
<strong>Le décor : une académie de tennis et un centre de désintoxication</strong>.<br />
<strong>Les personnages principaux : la famille Incandenza, qui rappelle la fameuse famille Glass des romans de Salinger, avec ses parents excentriques et ses enfants, géniaux – dont Hal, adolescent tennisman surdoué. Mais aussi un groupe de séparatistes québécois, « Les Assassins en Fauteuil Roulant », entrés en résistance. Ils convoitent une arme redoutable : une vidéo clandestine créée par le père Incandenza, L’Infinie Comédie, qui suscite chez ceux qui la regardent une addiction mortelle…</strong><br /></p>
<p><strong>L'AUTEUR</strong> :<br />
''David Foster Wallace naît en 1962 à Ithaca, dans l’État de New York. Après de brillantes études en littérature et philosophie à Amherst College, où il se passionne également pour la logique et les mathématiques, il publie à vingt-cinq ans son premier roman La Fonction du balai*. Le New York Times salue un livre « fou, humain, furieusement original, dans la lignée de V de Thomas Pynchon ou du Monde selon Garp de John Irving ». En 1991, alors qu’il enseigne la littérature à Emerson College (Boston) puis à l’Université d’État de l’Illinois, il se lance dans l’écriture d’un roman « total » : L’Infinie Comédie (Infinite Jest). Admiré et sans cesse analysé par ses lecteurs, ce livre hors-norme fait dès sa sortie en 1996 l’objet d’un
culte. L’Infinie Comédie reçoit plusieurs prix littéraires, et David Foster Wallace accède à la notoriété. Il obtient une bourse de la fondation MacArthur et publie en 1999 Brefs entretiens avec des hommes hideux*. Il écrit ensuite un recueil de nouvelles ainsi que de nombreux essais courts sous forme d’articles, traitant de divers sujets tels que la littérature, la musique, la télévision ou le tennis. En 2008, en proie à une dépression sévère depuis son adolescence, David Foster Wallace se donne la mort. Il laisse derrière lui un roman inachevé, Le Roi pâle*, publié en 2011 et finaliste du prix Pulitzer''.<br />
<em>L’oeuvre de David Foster Wallace est actuellement l’une des plus acclamées et commentées de la littérature contemporaine américaine. Un film sur sa vie sortira en 2015 aux États-Unis</em>.<br />
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<p><strong>Le 17 SEPTEMBRE 2015</strong><br />
<strong><em>En toute franchise</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Richard%20Ford">Richard Ford</a></strong><br />
traduit de l’anglais (États-Unis) par Josée Kamoun<br />
21€<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.En_toute_franchise_s.jpg" alt="En_toute_franchise.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="En_toute_franchise.jpg, juil. 2015" /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Richard_FORDr_opale41185_01_s.jpg" alt="OPALE41185_01" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="OPALE41185_01, juil. 2015" />
<strong>RÉSUMÉ</strong> :<br />
<strong>Nous sommes en 2012. Frank Bascombe, le héros récurrent de Richard Ford, en a fini avec sa vie d’ancien journaliste sportif et agent immobilier. À 68 ans, il coule une retraite paisible dans une ville tranquille du New Jersey. Paisible… jusqu’à ce que l’ouragan Sandy vienne frapper la côte est des États-Unis</strong>.<br />
<strong>Frank rend visite à son ex-femme, laquelle vit désormais dans une résidence médicalisée ; recueille les confessions d’un vieil ami ; et se trouve confronté à ses propres préjugés. En toile de fond, l’Amérique d’aujourd’hui, avec la bataille présidentielle Obama/Romney et la crise économique. Caustique, bavard, malicieux et politiquement incorrect, Frank Bascombe demeure incontestablement l’un des personnages les plus attachants de la littérature américaine actuelle. De quoi satisfaire ses nombreux fans, qui ne cessent de le réclamer depuis la parution de L’État des lieux.</strong><br /></p>
<p><strong>L'AUTEUR</strong> :<br />
<em>Richard Ford est né à Jackson (Mississippi) en 1944. En 1976, paraît son premier roman, </em>Une mort secrète<em>. De son expérience de journaliste sportif, il tire le personnage de Frank Bascombe, mis en scène dans </em>Un week-end dans le Michigan<em>. Il reçoit le PEN/ Faulkner Award et le prix Pulitzer en 1996 pour </em>Indépendance<em>. Son dernier roman </em>Canada<em> a connu en France un immense succès et obtenu le <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?post/2013/09/19/Palmar%C3%A8s-du-Prix-Femina">prix Femina étranger en 2013</a></em>.<br />
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<p>Le 24 SEPTEMBRE 2015
<strong><em>Les Arabes dansent aussi</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Sayed%20Kashua">Sayed Kashua</a></strong><br />
traduit de l’hébreu par Katherine Werchowski<br />
collection « Replay »<br /></p>
<p><strong>RÉSUMÉ</strong> :<br />
<strong>Comment être à la fois arabe et israélien ? Pour le narrateur de ce roman, ce n’est pas une question théorique, c’est une réalité quotidienne, et déchirante. À Tira, un village de Galilée, il est élevé dans le respect des traditions musulmanes par sa grand-mère. Son père, ancien membre du parti communiste, lui inculque le sens de l’honneur. Son destin semble tracé. Mais il est un élève brillant, et est envoyé grâce à une bourse dans un pensionnat de Jérusalem. Là-bas, c’est un nouveau monde qui s’offre à lui, où l’on parle hébreu et écoute les Beatles, un monde qui le fascine, auquel il voudrait s’intégrer… et qui le rejette cruellement</strong>.<br />
<strong>En mêlant d’une manière virtuose le tragique et le comique, Les Arabes dansent aussi décrit avec émotion le long travail d’apprentissage de l’identité à accomplir pour celui qui, né dans une famille de combattants palestiniens, va s’employer à ressembler le plus possible à ses camarades juifs</strong>.<br /></p>
<p><strong>L'AUTEUR</strong> :<br />
<em>Sayed Kashua est né en 1975. Après avoir étudié à l’Université hébraïque de Jérusalem, il tient une chronique pour </em>Ha’aretz<em>. </em>Les Arabes dansent aussi<em> était son premier roman. Il a ensuite publié </em>Et il y eut un matin<em> et </em>La Deuxième personne<em> (L’Olivier, 2006 et 2012). Il a écrit une série télévisée, </em>Travail d’Arabe<em>, qui a connu un immense succès, et a signé également le scénario de </em>Mon fils<em>, du cinéaste Eran Riklis, un film salué par la critique.</em><br />
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<strong>Les résumés sont de l'éditeur.</strong><br />
Article publié le 10 juillet 2015<br />
<a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/RENTR%C3%89E%20LITT%C3%89RAIRE%202015">RENTRÉE LITTÉRAIRE 2015</a> <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/LITT%C3%89RATURE">LITTÉRATURE</a> <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/LIVRE">LIVRE</a> <a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/LETTRE">LETTRE</a></p>