La lettre du Libraire - Mot-clé - Maïssa Bey2024-03-29T05:32:44+01:00urn:md5:730380b67af77a3fbbc36330a33651feDotclearLa rentrée littéraire de l'Aubeurn:md5:14e84287e2ac92312b8d3381d7ee35fb2015-09-15T20:40:00+02:00lalettreRentrée littéraire 2015Andrea del FuegoHugues SerrafMaïssa BeyRENTRÉE LITTÉRAIRE 2015
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.L__aube_Logo_s.jpg" alt="Impression" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Impression, juin 2014" /><br />
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<strong>LITTÉRATURE FRANÇAISE</strong><br />
<strong>Le 20 août 2015</strong><br />
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<strong><em>Comment j’ai perdu ma femme à cause du tai chi</em></strong><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Hugues%20Serraf">Hugues Serraf</a></strong><br />
160 p., 16 €<br />
<strong>PREMIER ROMAN</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Comment_j_ai_perdu_ma_femme_a_cause_du_Tai_chi_s.jpg" alt="Comment_j_ai_perdu_ma_femme_a_cause_du_Tai_chi.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Comment_j_ai_perdu_ma_femme_a_cause_du_Tai_chi.jpg, juin 2015" /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Hugues_Serraf___Marc_G._Gauthier_1__1__s.jpg" alt="Hugues_Serraf___Marc_G._Gauthier_1__1_.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Hugues_Serraf___Marc_G._Gauthier_1__1_.jpg, juin 2015" />
« <strong><em>C’est vraiment dégueulasse, une cellule de prison. Exactement comme on l’imagine : les murs sont crades et gris ; la minuscule fenêtre à barreaux est crade et grise... Même mon futur colocataire, avachi sur son matelas, est crade et gris. Tiens, je me demande si je ne vais pas, moi aussi, devenir crade et gris si je reste ici trop longtemps</em>.</strong> »<br />
<strong><em>Parce que sa femme a disparu, qu’on a retrouvé une flaque de sang et ses empreintes sur un sabre, notre héros est en prison. Se liant à Coloc, son codétenu belge, il va nous raconter son histoire, celle d’un couple amoureux qui se marie, fait des enfants et passe ses étés en club de vacances ; puis celle d’une femme dont la passion pour le tai chi va prendre toute la place – jusqu’à la séparation, inévitable</em>.</strong><br /></p>
<p><strong>L'auteur</strong>:<br />
<em>Hugues Serraf est journaliste et écrivain. Il vit entre Marseille et Paris. Sa femme l’a quitté mais elle n’est pas morte, il n’a jamais tué personne et il n’est jamais allé en prison. Comment j’ai perdu ma femme à cause du tai chi est son premier roman.</em><br />
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<p><strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>Le 3 septembre</strong><br />
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<em><strong>Hizya</strong></em><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Ma%C3%AFssa%20Bey">Maïssa Bey</a></strong><br />
320 p., 20 €<br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Hizya_s.jpg" alt="Hizya.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Hizya.jpg, juin 2015" /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Maissa_Bey_N_B_s.jpg" alt="Maissa_Bey_N_B.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Maissa_Bey_N_B.jpg, juin 2015" />
<strong>''Hizya est une jeune femme comme les autres – tellement comme les autres ! Algérienne, Algéroise, un diplôme universitaire en poche, elle n’a pu trouver du travail que dans un salon de coiffure, déjà bien contente que sa famille – son père, sa mère, ses frères – la laissent travailler !</strong> <strong>Impossible pour Hizya de secouer ce joug, même si une voix intérieure la pousse sans cesse à la révolte. La révolte ? Simplement vivre comme elle l’entend, libre de ses mouvements, de ses pensées, de ses sentiments''.</strong><br />
<strong><em>D’autant que son prénom, Hizya,la ramène sans cesse à ce si beau poème d’amour du xixe siècle, où la jeune et belle Hizya brave tous les interdits pour vivre la plus grande des histoires d’amour</em>.</strong><br /></p>
<p><strong>L'auteur</strong> :<br />
<em>Maïssa Bey vit à Sidi Bel Abbes, en Algérie. Elle est l’auteure de plusieurs romans, de nouvelles et de pièces de théâtre. L’essentiel de son oeuvre est publiée à l’Aube</em>.<br />
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<p><strong>Le 1er octobre</strong><br />
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<em><strong>Les Malaquias</strong></em><br />
<strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Andrea%20del%20Fuego">Andrea del Fuego</a></strong><br />
<strong>Traduit du portugais (Brésil) par Cécile Lombard</strong><br />
143 x 220, 176 p., 16 €<br />
<strong>PREMIER ROMAN</strong><br />
<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Les_Malaquias_s.jpg" alt="Les_Malaquias.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Les_Malaquias.jpg, juin 2015" /><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Andrea_del_Fuego_2_s.jpg" alt="Andrea_del_Fuego_2.png" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Andrea_del_Fuego_2.png, juil. 2015" />
<strong>RÉSUMÉ</strong> :<br />
<strong>Nous sommes dans une région rurale du sud du Brésil, le Rio grande do Sul. Andrea del Fuego nous raconte l’histoire de trois enfants, devenus orphelins après que leurs parents ont été foudroyés dans leur maison de la Serra Morena, la « montagne impraticable ». L’aîné y demeurera et se fera embaucher dans la plantation de café voisine. La fille est adoptée par une riche Arabe de Rio de Janeiro. Pour le benjamin, les difficultés ne font que commencer : il se révèle atteint de nanisme et sera recueilli dans un orphelinat dirigé par des religieuses. Devenue adulte, la fratrie va chercher à se reconstituer. Leurs vies se construisent, se croisent et se chevauchent, bousculées par l’évolution du pays, avec la création d’une usine hydroélectrique sur le terrain voisin qui les pousse à quitter la maison de leurs parents…</strong><br />
<em>Dans la Serra Morena, morts et vivants cheminent ensemble, magie et réalité composent l’une avec l’autre. Un roman profondément humain et poétique, insolite, qui renoue avec la tradition du réalisme magique caractéristique de l’Amérique du Sud, laissant le lecteur troublé et enchanté</em>.</p>
<p><strong>L'auteur</strong> :<br />
<em>Andrea del Fuego est née à São Paulo (Brésil) en 1975. Écrivain, elle a déjà publié plusieurs contes et livres pour enfants. D’origine indienne, elle se sert admirablement des croyances et coutumes indiennes dans ses écrits. Les Malaquias est son premier roman, pour l’écriture duquel elle a puisé dans son histoire familiale</em>.</p>
<p>copyright photo de Hugues Serraf : Marc G Gauthier.<br />
<strong>(Les résumés sont de l'éditeur)</strong><br />
Article publié le 1er juillet 2015<br /></p>