La lettre du Libraire - Mot-clé - Nickolas Butler2024-03-28T17:45:20+01:00urn:md5:730380b67af77a3fbbc36330a33651feDotclearLa Maison dans les nuagesurn:md5:30908abfb959f5a360a4b76f738332622023-08-11T11:01:00+02:00lalettreLittérature américaineLa CosmopoliteNickolas ButlerStock
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_maison_dans_les_nuages_m.jpg" alt="La maison dans les nuages.jpeg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="La maison dans les nuages.jpeg, mai 2023" /><strong>"Un chantier, on sait quand ça commence, on ne sait jamais quand ça finit" et surtout comment. C'est ce que Cole, Bart et Teddy se disent lorsqu'une riche californienne leur demande de construire une immense maison en haut d'une montagne du Wyoming. Un seul impératif s'ils souhaitent toucher un bonus de 100 000$ chacun : livrer la maison le 25 décembre au matin.</strong><br />
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Le rêve américain est posé sur trois piliers : l'argent, l'énergie et l'inconscience. L'argent est la motivation première des trois hommes qui y voient un moyen évident de changer de statut social, d'acquérir la maison de leur rêve ou encore de partir vers les eaux turquoises d'un pays lointain ; l'énergie, ils en ont plus qu'il n'en faut, chacun sachant ce qu'il à faire ; enfin, l'inconscience de pouvoir livrer la maison à la date exigée.<br />
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Nickolas Butler serre - lentement mais surement - le nœud autour du cou des trois hommes. Les rumeurs sur la maison enflent, les artisans qui cessent de venir travailler, le beau temps laisse la place aux nuages gris puis à la neige et enfin à la tempête. Une tempête qui fait rage chez Cole, Bart et Teddy et dévaste progressivement toutes leurs valeurs pour être sûr de toucher ces 100 000$. La question est simple : jusqu'où Cole, Bart et Teddy sont-ils prêt à aller pour changer de vie, avoir un compte en banque bien garni, ne plus être regardés comme les petits entrepreneurs du coin, les bouseux de service ?<br />
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<em>La Maison dans les nuages</em> est une splendide construction, maintenue en équilibre sur le talent solide de Nickolas Butler et balayée par une fin à coupée le souffle.</p>
<p><em>La Maison dans les nuages</em><br />
Nickolas Butler<br />
Stock<br />
La Cosmopolite<br />
450p., 23€<br />
17 mai 2023<br />
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Ps : On retrouvera <em>La Maison dans les nuages</em> dans les sélections des prix de l'automne.
<br /></p> La rentrée littéraire Autrementurn:md5:4b5f2f70ca3d8e77f7bb8eca5d7608822014-12-07T23:32:00+01:00lalettreRentrée littéraire 2014Nickolas Butler
<p><img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Autrement_Logo_s.jpg" alt="Autrement_Logo.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Autrement_Logo.jpg, juin 2014" /><br />
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<strong>LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE</strong><br />
<strong>le 20 août 2014</strong><br />
<em><strong>La vie de Lillian, mode d’emploi</strong></em> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Alison%20Jean%20Lester">Alison Jean Lester</a></strong> (États-Unis, Traduit par Jean Esch, premier roman)<br />
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<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.La_Vi_De_Lillian_couvHD_s.jpg" alt="La_Vi_De_Lillian_couvHD.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="La_Vi_De_Lillian_couvHD.jpg, juin 2014" />
<em>Sa vie n’a rien d’un conte de fées, et pourtant Lillian en apprécie chaque instant :,un petit déjeuner partagé avec son amant du moment, une minute de tendresse avec Pandora, son chat, une omelette réussie à la perfection, une bouteille de champagne qui attend d’être débouchée… En une succession de courts chapitres, qui sont autant de « modes d’emploi », elle se remémore avec humour, justesse, et parfois mélancolie, des épisodes de sa vie sur près d’un demi-siècle.</em><br />
<em>De Munich à New York, en passant par Londres et Paris, elle se fait tour à tour femme fatale au volant de sa mustang, un foulard noué autour de la tête ; fille et tante dévouée ; amante infidèle ou délaissée ; sexagénaire assumant pleinement ses choix et ses désirs : « Le sexe a tellement d’importance. Au lycée et à la far, c’était très important pour moi de ne pas coucher. Maintenant, c’est l’inverse. » Elle aime se dire qu’elle « ne regrette rien. Rien de rien, comme dans la chanson » sans pour autant se voiler la face.</em><br /></p>
<p><strong>Alison Jean Lester est née à Los Angeles en 1966, d’une mère anglaise et d’un père américain. Titulaire d’un Master d’Études chinoises de l’École d’Études Internationales Avancées de l’Université John Hopkins, elle s’installe au Japon en 1991 où elle travaille en freelance pour différents magazines. En 1999, elle quitte Tokyo pour Singapour où elle monte une entreprise florissante de formation et de coaching. En parallèle, elle s’attelle à l’écriture de plusieurs ouvrages de nonfiction et de nombreuses nouvelles.</strong><br />
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<p><strong><em>Retour à Little Wing</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Nickolas%20Butler">Nickolas Butler</a></strong> (États-Unis, traduit par Mireille Vignol, premier roman)<br />
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<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Retou_A_Little_Wing_HD_s.jpg" alt="Retou_A_Little_Wing_HD.jpg" style="float:left; margin: 0 1em 1em 0;" title="Retou_A_Little_Wing_HD.jpg, juin 2014" />
<em>Hank, Lee, Kip et Ronny ont grandi à Little Wing, bourgade agricole au coeur du Wisconsin. Arrivés à l’âge adulte, ils ont tous pris des chemins différents. Hank s’est marié avec Beth, son amour de jeunesse, et a choisi de rester cultiver les terres familiales. Kip, trader dans les matières premières, a fait fortune à Chicago. Ronny, ancien champion de rodéo, n’est plus tout à fait lui-même depuis qu’il a été terrassé par un AVC. Lee, le musicien de la bande, est devenu une star du rock indépendant</em>.<br /></p>
<p><em>Tous quatre, où qu’ils se trouvent, restent profondément attachés à Little Wing et sa communauté – ville fictive magnifiquement évoquée – qui représentent leur seul et unique point d’ancrage. Dix ans plus tard, l’heure des retrouvailles – mais aussi des constats – a sonné. Ces quatre personnages hauts en couleur, tous plus attachants les uns que les autres, prennent la parole à tour de rôle pour partager, avec humour et tendresse, leurs espoirs et leurs doutes à ce moment clef de leur vie.</em><br /></p>
<p><strong>Nickolas Butler est né en 1979 à Allentown en Pennsylvanie et il a grandi dans le Wisconsin, où il vit actuellement avec sa femme et leurs deux enfants. Il est diplômé de l’Université du Wisconsin et de l’Atelier des écrivains de l’Iowa. Il a exercé diverses professions : agent d’entretien chez Burger King, vendeur de hotdogs, démarcheur téléphonique…. Ses écrits ont été publiés dans de nombreuses revues littéraires dont Narrative Magazine et Ploughshares. Les droits cinéma ont été vendus à la Fox. Il est en cours de traduction dans 10 pays</strong>.<br />
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<p><strong>Le 3 septembre 2014</strong><br />
<strong><em>Le plus beau pays du monde et autres nouvelles</em></strong> de <strong><a href="http://www.lalettredulibraire.com/?tag/Simon%20Van%20Booy">Simon Van Booy</a></strong> (Pays de Galles, traduit par Micha Venaille)<br />
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<img src="http://www.lalettredulibraire.com/public/.Le_Plus_Beau_Pays_Du_Monde_couvHD_s.jpg" alt="Le_Plus_Beau_Pays_Du_Monde_couvHD.jpg" style="float:right; margin: 0 0 1em 1em;" title="Le_Plus_Beau_Pays_Du_Monde_couvHD.jpg, juin 2014" />
<em>Le plus beau pays du monde nous fait voyager dans le temps et l’espace en compagnie de personnages des plus attachants : un diplomate américain en larmes, un jeune prêtre polonais avec « beaucoup d’allure », une mère célibataire et son fils de 4 ans plantés devant un casino de Las Vegas, un gondolier solitaire « qui rame sur un canal creusé dans une piscine, au beau milieu du désert du Nevada ». Tous unis par « la beauté déchirante d’une voix solitaire ».</em><br /></p>
<p><em>Dans La ville où le vent souffle dans les arbres, George, Américain terne qui mène une existence sans surprise, reçoit une surprenante lettre de Suède : il serait le père d’une fillette de 6 ans, qui habite Stockholm. Il saute dans un avion pour aller à la rencontre de « la plus précieuse des créatures qui ait jamais existé ». Walter, jeune héros des Gitans sur la colline, nettoie amoureusement une douzaine d’oeufs avant de les offrir à l’orpheline canadienne qu’il rêve de séduire. La première fois que la narratrice de Jeu d’enfant fait connaissance avec sa future belle-mère, cette dernière git inconsciente à la suite d’une tentative de suicide.</em><br />
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<p><strong>Simon Van Booy est né en 1975 aux Pays de Galles. Il est l’auteur de deux recueils de nouvelles et de deux romans. Il a également supervisé l’édition de trois ouvrages de philosophie et ses essais sont régulièrement publiés dans la presse anglo-saxonne (The New York Times, The Times, The Guardian, etc.) Il enseigne à l’Ecole des Arts Visuels (SVA) de Manhattan et, en 2013, il a créé l’organisation <em>Writers for Children</em> (Ecrivains pour enfants) qui organise des concours d’écriture afin d’encourager les jeunes à croire en leur talent. Il vit à Brooklyn. Ses ouvrages ont été traduits dans plus de quinze langues. Autrement a déjà publié, avec succès, <em>L’Amour commence en hiver</em> (2012) et <em>Outre-Atlantique</em> (2013).</strong><br />
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Les résumés sont de l'éditeur.</p>