En premier lieu, bravo à Marianne Canavaggio - la traductrice - qui a fait preuve d’une ténacité et d’une pugnacité sans nom pour parvenir à restituer la loufoquerie de ce roman, et d’une agilité d’esprit évidente pour rendre l’élégance de la langue
En premier lieu, bravo à Marianne Canavaggio - la traductrice - qui a fait preuve d’une ténacité et d’une pugnacité sans nom pour parvenir à restituer la loufoquerie de ce roman, et d’une agilité d’esprit évidente pour rendre l’élégance de la langue