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LITTÉRATURE FRANÇAISE
29 août 2013

Un jour par la forêt de Marie Sizun
Qu’est-ce qui pousse Sabine, petite élève de 5e, solitaire et rêveuse, à ne pas se rendre en classe,ce matin de printemps ? Pourquoi décide-t-elle ce jour-là de faire l’école buissonnière, et d’aller à la découverte d’un Paris qu’elle ne connaît pas très bien et qui l’a toujours fascinée ?
Ce n’est pas seulement pour échapper au rendez-vous que la prof de français, excédée par son désintérêt, a fixé à sa mère. La fuite de Sabine parle de honte et d’incompréhension. Honte de sa mère, qu’elle sent ne pas correspondre à l’image qu’on se fait d’une mère attentive, soucieuse de la scolarité de son enfant ; mais aussi honte de son milieu social où la culture reste un mot opaque, presque hostile.
La petite prend soudain conscience que ce monde du lycée lui est fermé, comme il l’a été aux siens. Mais, au cours de sa journée vagabonde, bien des choses vont changer pour elle. Le hasard d’une rencontre lui fera découvrir le trésor qu’elle porte en elle et qui ne demande qu’à être révélé.

5 septembre 2013
Max en apparence de Nathalie Skowronek
Tout avait donc commencé par ce numéro tatoué dont j’avais oublié la combinaison. Pour le retrouver, ou parce que trop désabusée, je m’étais enfoncée dans le royaume des morts. J’avais fait corps avec Max, je l’avais suivi au plus près, j’avais essayé de retracer sa trajectoire. Moins pour lui que pour moi, à dire vrai. Pour que je puisse m’en sortir. Remonter à la surface. Mettre un peu d’ordre. Donner un sens. Parce que je savais aussi que Max en avait payé le prix, mais qu’il s’en était donné à coeur joie.

(Les résumés sont de l'éditeur).